"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 2 septembre 1939, Oswald est mobilisé. Modeste tonnelier du village de Bazens, près de Port-Sainte-Marie, lou Barricaïre va traverser et vivre à sa façon, dans l'amour de l'autre, "La drôle de guerre». La débâcle tout d'abord puis l'accueil des réfugiés, surtout l'accueil des réfugiés qui ne repartiront chez eux qu'en 1945. L'auteur écrit, ici, pour son petit-fils, Maxime, qui veut tout savoir... Après avoir patiemment enregistré et classé les témoignages de chacun, elle y décrit la solidarité et les amitiés qui se sont nouées entre les gens du village et ces »estrangers» rejetés de chez eux par la guerre. Les noms réels ont été conservés comme une reconnaissance, une façon de préserver vivants, ces hommes et ces femmes et, de les remercier pour leur rôle dans l'écriture de notre histoire, l'histoire de la France.
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