En 2024, ces auteurs et autrices nous émerveillent plus que jamais !
«Un long hurlement, celui d'une foule d'enfants, secoue la planète. Dans les villes, le Cri passe à travers les murs, se faufile dans les canalisations, jaillit sous les planchers, court dans les couloirs des tours où les familles dorment les unes au-dessus des autres, le Cri se répand dans les rues.» Un rêve collectif court à la vitesse de la rotation terrestre. Il touche tous les enfants du monde à mesure que la nuit avance. Les nuits de la planète seront désormais marquées par l'apparition de désordres nouveaux, comme si les esprits de la nature tentaient de communiquer avec l'humanité à travers les songes des enfants. Eva a fui son mari et s'est coupée du monde. Dans l'espace sauvage où elle s'est réfugiée avec sa fille Lucie, elle est déterminée à se battre contre ce qui menace son enfant durant son sommeil sur une Terre qui semble basculer. Comment lutter contre la nuit et les cauchemars d'une fillette ?
En 2024, ces auteurs et autrices nous émerveillent plus que jamais !
Carole Martinez a un véritable pouvoir sur moi qui se vérifie à chaque nouveau livre. Elle possède le don de m’envoûter avec des histoires qui éveillent mon cerveau cartésien.
Dans « Dors ton sommeil de brute », la formule de l’autrice reste inchangée. Elle fixe son aventure dans le réel et y parsème une poignée de surnaturel. Les actrices et les acteurs de son drame sont confrontés à des évènements incroyables qu’ils vont essayer de comprendre et de maîtriser. Par le biais du fantastique, elle triture la nature humaine en le confrontant à des obstacles qui la dépassent. La catastrophe approchant, les caractères entrent en jeu, les instincts prennent le dessus et l’Homme se révèle.
Le récit est rythmé sur les rêves des enfants. Au cœur des chapitres, les points de vue se répondent, sans transition. Chaque personnage est traité différemment dans la forme du texte. On les suit à la première, à la deuxième ou à la troisième personne selon le narrateur. Cette manière originale de raconter permet d’appréhender les évènements sous divers angles.
A travers cette dystopie, l’écrivaine semble vouloir passer des messages sur l’écologie et sur l’état de notre monde. Elle fait appel à l’amour et à la solidarité afin de revenir aux essentiels et tenter de reprendre le contrôle. Sa plume somptueuse, emprunte de poésie, m’a entrainé dans son univers. Sans résistance, j’ai laissé ma rationalité au vestiaire et j’ai plongé la tête la première dans ce futur enchanté et diabolique. En traitant notre avenir par le prisme de l’environnement, elle frappe fort les esprits.
Une fois encore, le talent de Carole Martinez a réussi à me déstabiliser et à m’ensorceler. Je ne saurais donc que trop vous conseillez de lâcher la bride et de vous laisser envouter par cette aventure au pays des rêves maudits !
https://leslivresdek79.wordpress.com/2024/11/18/976-carole-martinez-dors-ton-sommeil-de-brute/
Carole Martinez a emprunté son titre au poème de Baudelaire « Le goût du néant ». On peut imaginer que Serge, ce géant étrange et taiseux, est ce « morne esprit, autrefois amoureux de la lutte ». Solitaire et malheureux, il vit dans la nature sauvage Camarguaise. C’est là qu’il croise Eva et sa fille Lucie, venues se réfugier dans ce coin perdu pour fuir la violence d’un mari et d’un père.
Ce roman aurait pu s’intituler « Du domaine de l’enfance » car ce sont eux, les enfants, qui sont au cœur de ces fléaux qui secouent le monde.
Ce pourrait être une énième histoire d’amour, de famille et de deuil, mais voilà que le surnaturel surgit lorsque les enfants du monde entier poussent un cri gigantesque au milieu de leur sommeil, et ce cri se propage « à la ¬vitesse de la rotation terrestre ». Quel mystère se cache derrière ce phénomène étrange ? Eva, neurologue spécialiste du sommeil, ne comprend pas. Tout ce qu’elle veut, c’est protéger sa fille de la violence du père et du monde. La petite Lucie, qui a apprivoisé le géant solitaire, vit au rythme de la nature, élève trois oisons, tandis que d’autres phénomènes étranges surviennent durant le sommeil des enfants qui font d’étranges rêves racontés avec beaucoup de poésie.
« Nous n’errons pas en traînant nos vieux corps amaigris dans le labyrinthe de nos vies, notre peau est lumineuse et, par ce cordon qui nous lie à la Terre, les sensations affluent durant notre sommeil. Dans nos rêves, la Terre nous alimente de ses humeurs, nous ressentons ce qu’elle ressent. »
Quel est donc ce monde parallèle dans lequel s’engouffrent les enfants durant leur sommeil, provoquant d’étranges comportements. Aucun n’est épargné. Les éléments se déchainent, provoquant la panique à bord des avions en vol.
« La planète est de nouveau traversée par un rêve collectif. Cette fois, le songe des enfants souffle la tempête »
Le lecteur avance à tâtons, rien ne lui est épargné. Chaque évènement est plus terrible que le précédent, et, malgré toutes les hypothèses, personne ne sait comment mettre fin à ces catastrophes climatiques.
Carole Martinez nous plonge dans l’inconnu et l’effroi. Seule la lumineuse Lucie semble suivre son destin avec confiance. Elle communie avec la nature, saura-t-elle vaincre tous ces dangers qui menacent sa vie et celle de milliers d’enfants ?
L’auteure joue avec nos nerfs, mêlant la réalité brute au surnaturel. Est-on dans un conte, avons -nous franchis la ligne invisible d’un monde surnaturel ? Nous avançons à tâtons, rien ne nous est épargné des cataclysmes qui ressemblent à ceux des dix plaies d’Egypte décrites dans l’Ancien testament.
Ce roman onirique et mystique nous balade entre monde réel et rêves. L’enfance y est très présente, comme si l’enfant seul pouvait transmettre un message aux hommes oublieux de la nature.
On retrouve avec plaisir la plume poétique et sensuelle de Carole Martinez dans ce roman déconcertant et fascinant.
Un titre magnifique qui laissait présager un univers de poésie et de rêveries audacieuses. Et c'est bien ce que l'on ressent en lisant le dernier roman de Carole Martinez, se laisser aller comme l'enfant qui imagine son petit monde et s'y aventure. J'ai parfois été bousculée par un souffle romanesque trop intense, ou même par ce foisonnement d'idées propre à l'auteure. Ce roman se mérite, il exige de nous une réelle attention mais également le courage de ne pas voir les choses de manière étroite, de ne pas se limiter à ce qui est visible. Se permettre d'aller un peu plus loin, dans un onirique à notre portée, à condition d'oser être soi.
Je découvre Carole Martinez par le biais de son dernier roman de la rentrée littéraire « Dors ton sommeil de brute ». Gros coup de cœur pour ce roman, que l’on pourrait définir comme un conte écologique, teinté d’onirisme et de merveilleux.
Dame Nature est à bout, l’humain la méprise, la souille, la tue à petit feu. Elle veut se rebeller, se faire entendre, elle va prendre comme cible les enfants, des âmes pures, quel meilleur vecteur pour peser sur les parents et les faire réfléchir. Les esprits de la nature profitent de la nuit pour infiltrer les rêves des enfants, interagir avec eux, voire les instrumentaliser.
Eva et la petite Lucie, 8 ans, ont fui Paris pour échapper à la violence de Pierre. Ce dernier n’admet pas la déliquescence de son couple et se venge sur Lucie. Elles trouvent refuge, dans une maison de gardian au bord de l’étang de Vaccarès en Camargue. Un petit paradis pour se reconstruire, d’autant plus qu’elles font la connaissance de Serge, un géant roux, un dur au cœur d’ange, au passé douloureux. Si attachant, qu’il n’a aucun mal à devenir un père et un mari de substitution.
Mais, une nuit, Lucie pousse un long cri pendant son sommeil, repris par tous les enfants de la planète. Comme une onde se propageant d’est en ouest à partir d’une longitude sur laquelle se situe le petit nid de nos fugitives. D’autres nuits suivront où le sommeil des enfants provoquera divers événements qui semblent correspondre et dans la même chronologie aux « dix plaies d’Egypte », dix châtiments que Dieu inflige à l’Egypte en exigeant que Pharaon laisse partir les Hébreux qu’il maintient en captivité.
Un roman très bien articulé, entre un récit à plusieurs voix et les rêves des enfants qui maintiennent le suspense jusqu’au bout. J’ai particulièrement aimé la description des rêves qui permet à Carole Martinez d’exprimer toute la virtuosité de sa plume, du soyeux, du velours. Laissons Kevin, 8 ans de Houston aux USA, nous en raconter un :
« Nous comptons les moutons et nous nous endormons. Mauvais petits bergers ! Nous sommes tellement heureux, assoupis dans l’étable ou dans la bergerie, que nous rêvons dans notre rêve… Nous nous rêvons vaches, nous sommes du troupeau. La Terre est un grand tout… Tranquilles, nous broutons, Nos yeux paisibles ont une douceur de soie. Nous broutons. Longtemps, nos bergers, nos vachers ont été des enfants. Le soir ils nous comptent toujours, mais ça n’aide pas à s’endormir, de nous compter dans le noir, de nous compter sans nous voir …Nous sommes des milliers, des dizaines de milliers, serrées les unes contre les autres dans des fermes automates à ne plus connaître ni le goût ni le parfum de l’herbe. Nous broutons dans nos têtes sans bergers, ni vachers. Nous absorbons ce que l’on nous donne, des corn flakes, des fonds de cuves de brasserie, des rebuts de frites industrielles ou de confiserie. Pourtant, nous sommes des ruminants, nous aimons l’herbe fraiche. Nous sommes toujours paisibles et d’une douceur de soie et nous rêvons de nos prés perdus. Sans trop pouvoir bouger, nous engraissons, comme engraissent les enfants humains enfermés dans le ciel de leur écran. Plus d’horizon ni pour eux, ni pour nous. Bientôt, la vache ne sera plus au pré que dans leurs livres d’images. Pauvres petits bergers coupés de leur troupeau ! »
Bien sûr, le monde réagira, entre les bons qui chercheront une solution pour endiguer cette suite infernale et les méchants qui n’auront de cesse de trouver le « porte rêve », l’enfant par qui tout se déclenche, pour l’exterminer. Car la dernière prophétie effraye, elle entrainera la mort de tous les premiers nés de chaque famille.
Vraiment de la belle ouvrage, je ne serai pas étonné que ce livre soit couronné d’un prix littéraire.
Chaleureux remerciements aux Editions Gallimard pour cette lecture prenante.
Pour protéger sa fille Lucie de son mari violent, Eva a choisi pour refuge secret une maison totalement coupée du monde, nichée au plus creux des marais camarguais. Leur voisin le plus proche, Serge, mène lui aussi une vie retirée, sa solitude seulement rompue par l’écoute en continu de la radio. Le trio vient à peine de faire connaissance que commence à travers la planète une série d’étranges et bientôt calamiteux phénomènes, un cycle de rêves collectifs touchant tous les enfants de la Terre à mesure de l’avancement des fuseaux horaires et qui, semblant singer les dix plaies d’Egypte, s’avère le moyen qu’a trouvé la nature en colère pour communiquer avec l’humanité et lui faire comprendre qu’elle court à sa perte.
« Je » pour Eva, « tu » pour Serge habitué à soliloquer, « il » pour le père rendu fou furieux par la fuite de sa femme avec leur fille, « nous » pour le collectif des enfants et enfin un texte en italique pour la radio : ce sont cinq fils narratifs qui, entrecroisant les points de vue dissociés d’acteurs convergeant pourtant tous vers le même sombre destin planétaire, forment avec audace et originalité la trame de ce roman, comme les précédents de l’auteur un conte plein d’imagination et de poésie, qui, entre songe et réalité, use du réalisme magique pour évoquer symboliquement, d’un côté, l’inconséquence et la violence des hommes à l’égard de leur environnement aussi bien que des plus faibles, de l’autre, le désabusement et la colère des esprits de la nature. Plus question pour ces derniers, en référence à un vers de Baudelaire, de laisser ces diables d’hommes dormir leur sommeil de brutes : il n’est que temps de les rappeler, par quelque cruelle leçon, à la conscience de leur vulnérabilité, pour les contraindre à réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Plus déconcertant et d’une beauté de langue moins saisissante que l’envoûtant La terre qui penche, ce nouvel ouvrage de Carole Martinez n’en finit pas moins, le temps pour le lecteur de s’abandonner à sa fantaisie surnaturelle, par imposer le charme d’une narration définitivement addictive, à la fois poétique, effrayante et cruelle, et comme traditionnellement les contes, porteuse d’un sens allégorique. Tandis que les nouvelles craintes apocalyptiques contemporaines y ravivent les grandes peurs ancestrales et leurs échos bibliques, le roman semble d’une certaine façon tremper ses lignes dans le courant très actuel du nouvel animisme, quand, après avoir longtemps méprisé les lois du vivant si centrales dans d’autres cultures pour lui préférer le modernisme occidental, l’homme se retrouve à devoir remiser son hubris pour reconsidérer ses liens avec la nature. Abordant tous ces thèmes sous l’angle du rêve chamanique, l’auteur ouvre les portes de l’enfance pour, à travers Julia et ses efforts de reprise de contrôle sur ses songes, une représentation des plus originales, rehaussée par l’écrin de nature sauvage de la Camargue, de la ligne de crête où l’humanité vacille aujourd’hui, consciente que la bascule sera bientôt irrémédiable.
Fabuleusement onirique, ce dernier ouvrage s’inscrit pleinement dans la veine de ces contes imagés et flamboyants dont Carole Martinez a le secret et qui, pour vous désarçonner possiblement, ne vous en charment pas moins de leur magie poétique et addictive.
Rentrée littéraire - Au pays de Peter Pan - avec Carole Martinez -
Et soudain un cri déchire la nuit
2009 : Lucie voit le jour en France. C'est Pierre qui voulait un enfant comme un prolongement à leur amour.
2017: Eva, neurologue spécialisé dans les troubles du sommeil, fuit Paris et Pierre avec sa fille Lucie pour une manade isolée en Camargue.
Au détour d'une promenade, d'un coup de fusil et d'un vol d'oies sauvages, elles y rencontrent Serge, homme timide et solitaire. Le coup de foudre entre la petite et le géant roux est immédiat.
En Camargue, la nuit, un cri retentit, c'est celui de Lucie.
A Paris, un cri immense retentit. Il dure 112 secondes. Cas isolé, phénomène unique ?
En Camargue, Eva ignore tout de ce qui agite le monde. Seule Lucie l'intéresse.
Les phénomènes étranges se répètent et gagnent en intensité toujours portés par les rêves des enfants.
Le monde s'agite, bourdonne. On commence à s'interroger, à échafauder des théories.
Et si ces rêves avaient une incidence dans le monde réel, pouvaient l'interpénétrer ?
Comment protéger des enfants qui parfois sous un même toit rêvent à l'identique à des moments différents? Quelle est leur origine. Comment en trouver le chef d'orchestre, les faire cesser ?
Un récit interpellant avec ce titre inspiré d'un vers de Charles Baudelaire, entre fable écologique, conte onirique, thriller et drame familial.
Partagée pendant cette lecture entre l'envie de savoir, de tourner les pages, portée par la qualité d'écriture de Carole Martinez et son idée originale aux accents bibliques. Et l'agacement à certains moments devant des révélations arrivant trop tôt, trop vite, qui m'en diminuaient l'impact et le suspens avec cette impression parfois aussi de voir défiler dans ma tête l'image de multiples séries ou romans dont j'aurais oublié les titres mais qui me donnaient des codes pour en déchiffrer les messages (*)
Peter Pan revisité par Carole Martinez à travers l'histoire moderne d'Eva, Pierre, Serge et Lucie en France et de celle des enfants dont la voix unique ouvre certains chapitres pour raconter l'expérience viscérale vécue par des milliers d'entre eux à travers le monde comme un seul et même individu.
Des sujets de société actuels: l'environnement, la nature, les guerres, l'emprise, la parentalité.
Des cris, des insectes voraces, des tempêtes, la nuit qui tombe --- où des tableaux prennent vie.
Le rêve vire au cauchemar ou s'interrompt quelque part dans le monde, comme coupé par une ligne invisible.
L'atterrissage sur la terre ferme est un peu brutal après ce vol mouvementé.
Pan, je me suis réveillée, le soleil était revenu, les oies sauvages s'apprêtaient à prendre leur envol tandis que les vaches paissaient tranquillement et que les chevaux galopaient au loin.
L'humanité était revenue, j'allais pouvoir rêver à nouveau sans avoir peur de sa brutalité.
Lecture clivante et marquante dont je garderai le souvenir. Un roman qui se mérite et qui mérite d'être lu !
Rêver à un monde meilleur où l'enfance serait un pont entre les rives, celle de l'adulte qui a oublié son humanité, celle de la terre qui souffre des 1001 plaies de sa brutalité -
Rentrée littéraire - Roman littérature française - Peter Pan, mélange de genres - parmi les 30, sélection Fnac
Pour fuir Pierre, son conjoint violent, Eva, neurologue, réfugie dans une manade isolée en Camargue avec Lucie, sa fille de 8 ans. Mais une nuit, celle-ci pousse un cri effroyable dans son sommeil. Un cri interminable, semblé sorti du plus terrifiant des rêves. Un cri dont elle ne garde aucun souvenir à son réveil.
Ce qu’elle ne sait pas c’est qu’à la même heure, tous les enfants du même fuseau horaire ont poussé eux aussi un cri, qui se répète tout autour de la terre. C’est Serge, un géant roux, son premier voisin, lui aussi isolé volontaire, qui lui apprendra l’existence de cet étrange phénomène. Le premier d’une longue série aux conséquences terribles et de plus en plus dramatiques.
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Il m’est impossible d’en dire plus sur ce roman à l’intrique originale. Que signifient ces phénomènes étranges ? Pourquoi touchent-ils les enfants ? Et comment les arrêter ? Mais aussi, pourquoi Lucie serait-elle l’enfant « porte-rêve »? Et quels sont les secrets de Serge ? Autant d’interrogations qui questionnent le lecteur et l’entrainent dans un univers à la fois mystique et onirique. On est un peu déboussolé au fil de ce récit mais il faut accepter de lâcher prise et de se laisser porter par l’étrangeté du propos. Il y est question de maternité, de parentalité. Il y traite de rédemption sur fond de crise écologique et on se pose finalement la question de savoir si le salut de l’humanité ne passerait pas par les enfants. Si ce ne seraient pas eux qui auraient les clés pour nous pousser au sursaut. C’est un roman en forme de fable, comme sait si bien les tisser Carole Martinez, et c’est peut-être la plus aboutie tant elle entremêle avec brio les thèmes qui lui sont chers.
Un roman clivant, qui partagera les lecteurs, mais dont on entendra parler en cette rentrée, j’en suis sûre.
Si vous l’avez lu qu’en avez vous pensé? Et si non, vous fait-il envie?
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