"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'inspiration est un univers plus vaste que le monde où l'homme espère raconter son histoire, l'infime résumé qu'il tire du monde des pensées. La peur du lendemain est une histoire qui revisite le récit de la création. Elle parle du jardin d'Eden, et au centre, de l'arbre perdu ; une histoire d'amour et de trahison qui relève purement de la grande imagination, sans que ceci biaise le côté spirituel du lecteur et encore moins, l'en détourne. Le choix de « Ève et Adam » est très capital parce qu'ils sont les premiers humains à s'être aimés, mais aussi à avoir vécu au Jardin d'Éden. Le pommier représente l'arbre de la vie, de l'immortalité, le seul arbre qui resta du Jardin d'Éden, qui survécut à la malédiction, et qui fut placé au centre de la terre, à un endroit où l'homme ne pût le retrouver, jusqu'à ce qu'arrive un archéologue, Pierrick. D'Adam et Ève à Pierrick et Odeline, l'auteure démontre qu'il y a de ces trésors que l'homme ne peut acquérir qu'au prix de l'amour.
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