"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En ouvrant, le nouveau poème au long cours de Cheick Ibrahim Cissé, Sandja : épitaphe d'un amour éternel, on pourrait s'attendre à lire les traditionnelles confidences d'un amoureux. Mais on est agréablement surpris. Car, bien que l'oeuvre soit dédiée à une femme, ce n'est point le poète qui épanche son âme, mais la femme dont le coeur épris d'amour pour lui s'est heurté à l'irréciproccité sentimentale de celui-ci. L'amour est bien le nerf de cette oeuvre, mais il est conjugué au féminin, puisque c'est une femme amoureuse qui s'exalte. Comme le poète le dit si bien, l'amour est une puissance ! Une puissance divine à laquelle on ne goûte qu'avec la sincérité du coeur. Et, il n'est jamais loin, l'amour. Il nous suffit d'ouvrir notre coeur pour le capter, le sentir, le voir. Il faut parfois de la volonté pour aimer.
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