"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 2014, la chute du prix mondial de pétrole (40.68 $ le baril) a eu pour conséquence un énorme déficit budgétaire de -13.50% du PIB (FMI, 2018). L'état algérien, au lieu de recourir à l'emprunt extérieur, embastillé encore de son idéologie d'indépendance de la nation, décida de recourir à la planche à billets en l'accompagnant de politiques - budgétaire et de commerce extérieur - restrictives. Selon les résultats de notre étude, l'impact du choc monétaire, se répercuterait beaucoup plus en inflation qu'en croissance économique tandis que la politique restrictive des importations se traduirait beaucoup plus en décroissance de la consommation, des dépenses publiques et du PIB sans aucun effet sur l'investissement et espoir d'import-substitution. L'idéologie « d'indépendance » de l'état algérien semble être la variable la plus explicative de la dynamique du système économique algérien qui procède par politique « goings and comings » : début de libéralisation en période néfaste puis repli en période faste.
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