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Au moment où l'humanité entre de plein pied dans l'ère virtuelle, en cette époque où le marketing et la haute technologie emplissent tant de paysages mentaux, à l'heure des haines raciales et des fanatismes religieux, il y a quelque témérité à vouloir parler de l'amour. Et le désir de tenir ce pari en un petit nombre de pages dues aux exigences de ce travail scientifique peut paraître paradoxal. Mais notre intention, en réalisant cette étude n'a été ni de traiter uniquement de la personnalité de Léopold Sédar Senghor, ni d'épuiser toute son oeuvre, encore moins de nous exercer au métier de critique littéraire. En effet, l'humanisme de Senghor nous a séduite, sa poésie nous a touchée, ses écrits politiques ont éveillé notre curiosité. Il nous a dès lors paru que ses pensées étaient toujours d'actualité et que ses écrits méritaient d'être lus à nouveau. Nous nous sommes en quelque sorte laissés emporter par le courant d'une oeuvre qui mêle les sources africaines traditionnelles aux vastes mers civilisatrices. Dans « Chants d'Ombre », Senghor ne cesse d'évoquer l'amour. Aussi est-il nécessaire d'éclairer la lanterne sur ce que nous entendons par « l'expression de l'amour ».
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