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Ouhaaaa je me suis régalée ... quel suspens
lors que le département V traverse une sale période, le suicide d’une femme oblige l’équipe de Carl Mørck à replonger dans une affaire non résolue de 1988.
Carl Mørk et l’équipe du Département V découvrent avec stupeur que depuis trente ans, un tueur particulièrement rusé choisit avec une régularité effrayante une victime et l’élimine en déguisant ce meurtre en accident ou en suicide. À chaque fois, sur le lieu du crime, un petit tas de sel.
"Souvent, bien trop souvent, Carl avait rêvé de pouvoir aller se promener à l’intérieur de têtes dont la mémoire était éteinte pour toujours. D’y glaner des réponses que la mort était venue précipiter dans le néant, des explications à jamais hors de portée.
Où était Sysle Park, en ce moment ?"
Cette 9èmes enquêtes du département V nous permet de retrouver les précédents protagonistes qui sont pour certains atypiques. Un début d’enquête qui a quelques longueurs et une intrigue en dessous des précédents tomes mais une fois lancé nous entrons dans les rouages de celle-ci, une fin légèrement bâclé. Ce tome a de nombreuses faiblesses mais la qualité du cœur de l’intrigue rattrape les défauts.
Quelle coïncidence.
Alors que l'équipe du département V a le sentiment que des suicides ou accidents mortels n'en sont pas, il semble qu'un serial killer est en train de sévir.
Est-ce que toutes ces affaires seraient liées ?
Nous voila encore partis à suivre une course contre la montre haletante.
Rose, Assad, Gordon et Morck ne vont pas ménager leur peine.
Il y a des rebondissements, du rythme et une intrigue qui nous emmène sur les traces des plus grands criminels de l'humanité.
J'ai passé un bon moment.
Hiver 2020, en pleine pandémie et alors que le Danemark est sur le point de se reconfiner, le Département V est lancé sur l’affaire peut-être le plus complexe et médiatique de son histoire. La découverte fortuite de petits tas de sel, disposés aux pieds de cadavres de suicidés ou d’accidentés depuis des années, ressemble à une signature. Carl Mork et son équipe sont-ils sur le point de mettre à jour les crimes d’un serial-killer qui officierait en toute discrétion depuis plus de 30 ans sans jamais avoir été inquiété, maquillant subtilement ses crimes en faux-suicide ? Le Département V se lance dans une enquête protéiforme sans se douter que la vieille affaire du « pistolet à clou » est sur le point de connaître un rebondissement majeur.
« Sel » est l’avant-dernier tome de la formidable saga du Département V, ce département de la police danoise consacré aux cold cases et composé de 4 personnalités très hautes en couleur. Comme pour les 8 enquêtes qui les ont précédées, cette nouvelle enquête née d’un tout petit détail (des petits tas de sel à proximité de prétendus suicidés) découvert presque par hasard et sur une longue durée. Carl Mork et ses trois enquêteurs vont tirer le petit fil comme ils le font toujours et toute la pelote va leur tomber dessus, comme toujours ! L’intrigue est limpide, complexe juste ce qu’il faut et elle fonctionne de la première à la dernière page. Les thématiques de cette intrigue (sans trop en dire : délire mystique, ange exterminateur) ne sont pas nouveau dans la saga, mais ils atteignent ici une sorte de paroxysme. Si certains aspects du délire criminel peuvent paraître un peu tirés par les cheveux (le calendrier), l’ensemble reste crédible en plus d’être passionnant. L’efficacité de l’écriture de Jussi Adler-Olsen n’est plus à démontrer : chapitres bien calibrés, suspens savamment dosé, fin qui met les nerfs à vif (et qui met l’un des enquêteurs dans une situation de péril imminent) et surtout puissance des personnages. Carl, Rose, Assad et Gordon ont bien évolués depuis le temps, mais ils sont restés fidèles à ce qui suscite l’affection et la fidélité du lecteur : humour noir et fausse décontraction (Carl), proverbes à base de chameaux et cafés trop serrés (Assad), franc-parler à la limite de l’impolitesse et bipolarité (Rose ), fragilité et pâleur maladive (Gordon). Si le pauvre Assad avait morflé dans le tome précédent (et les conséquences sont encore très prégnantes), c’est au tour de Carl de se retrouver au cœur du cyclone. « L’affaire du pistolet à clou », qui nous tient en haleine depuis le tout début du premier tome, entre dans sa phase finale. Lorsque « Sel » se termine, Carl est en bien mauvaise posture, bien plus mauvaise qu’il ne l’a jamais été, et nul doute que le 10ème et dernier tome scellera son destin. Cette saga, hyper cohérente depuis le début, nous laissera bientôt orphelins de personnages dont on aura adoré partager la vie et le travail. Mais en n’attendant aucune raison de se priver de ce 9 ème tome très réussi, dont les 66 chapitres n’ont pas fait long feu en ce qui me concerne !
Le dernier tome paru des enquêtes du Département V présidé par Carl Morck. J'ai eu plaisir à retrouver nos personnages habituels de l'équipe autour de vieux meurtres non élucidés ayant pour point commun un petit tas de sel à côté des victimes. Encore une fois, le livre se lit avec plaisir, sans ennui, on sourit aux expressions particulières d'Assad et on tremble pour un des personnages kidnappé par la tueuse.
Lu en version audio.
9ème enquête du Département V : plaisir renouvelé de retrouver l'équipe de Mork ( les personnages gagnent en densité) ,bonheur d'écouter cette histoire ( car je l'ai lue avec les oreilles) et de retrouver l'humour de l'auteur.
Version audio
Quel plaisir de retrouver Carl Mørk du département V et son équipe atypique !
Comment un petit tas de sel, bien anodin, peut les conduire au dénouement d’un cold case…
Jussi Adler-Olsen nous entraîne dans une course contre la montre à la veille de Noël. Un tueur en série qui signe son forfait en laissant un petit tas de sel, semble sur le point de sévir à nouveau. En plus des contraintes liées au covid, l’enquête de Mørk est, comme toujours, entravée par les autres services de police.
Ce nouvel opus est l’occasion, une fois encore, pour Jussi Adler-Olsen d’analyser la société danoise. Ici le bien et le mal se mélangent dans la tête de ses personnages tout pétris de religion. Si les victimes sont de vraies ordures, que je me suis surprise à ne pas plaindre, est-ce une raison pour se prévaloir d’un droit divin de vengeance ? Tout serait-il permis si c’est la voix de dieu qui nous guide ?
Certains pourraient dire que c’est trop compliqué et pas très crédible mais j’ai vraiment passé un très bon moment avec le département V. Je n’ai pas lu les 2 ou 3 tomes précédents et j’ai raté certains épisodes de la vie de l’énigmatique Assad. Comme je suis intriguée j’ai très envie de les lire. En plus l’histoire n’est pas finie et il va falloir attendre le volume 10. Je n’en ai donc pas fini avec Carl Mørk.
J’ai beaucoup apprécié la lecture de Julien Chatelet. Il rend addictif ce polar tout de même un peu long.
https://ffloladilettante.wordpress.com/2022/12/05/sel-les-enquetes-du-departement-v-vol-9-de-jussi-adler-olsen/
L'été, un de mes plaisirs est de dévorer des policiers. Les nordiques ont toujours ma préférence et entre autres Camilla Lackberg, Viveca Sten et Arnaldur Indridasson, jusqu Adler Olssen a toujours unes place de choix.
Impossible de résister à la 9eme enquête du Département V. Cette fois l'équipez de Carl Møck est confrontée, en plain confinement, à des cold cases qui pourraient les mener vers le pire tueur en série du Danemark. Sa marque de fabrique? du sel dépose délibérément à proximité des cadavres.
Même si elle est bien ficelée, cette enquête n'est pas ma préférée de la série, et elle m'a semblé un peu fade après l'excellent « Victime 2117 ». Moins de surprises, moins de suspense, des ficelles un peu grosses, mais un plaisir intact à retrouver l'équipe de bras cassés composée de Carl, Assad, Rose et Gordon, même si eux aussi sont ici un peu trop sages à mon goût.
A lire toutefois en attendant impatiemment le prochain
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