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Pourquoi Merete Lyyngaard croupit-elle dans une cage depuis des années ? Pour quelle raison ses bourreaux s'acharnent-ils sur la jeune femme ? Cinq ans auparavant, la soudaine disparition de celle qui incarnait l'avenir politique du Danemark avait fait couler beaucoup d'encre. Mais, faute d'indices, la police avait classé l'affaire. Jusqu'à l'intervention des improbables Carl Mørck et Hafez el Assad du Département V, un flic sur la touche et son assistant d'origine syrienne. Pour eux, pas de cold case ... Couronné par les prix scandinaves les plus prestigieux, le thriller de Jussi Adler-Olsen, première enquête de l'inspecteur Mørck, est un véritable phénomène d'édition mondial. Les raisons d'un fol engouement ? Deux personnages sympathiques et attachants, et une histoire à l'efficacité démoniaque. Marianne Payot, L'Express.
https://colorandbook.blogspot.com/2023/03/departement-v-tome-01-misericorde-de.html?m=1
« Miséricorde » a été une lecture très agréable. C'était un plaisir de reprendre la saga des enquêtes du département V à sa genèse après l'avoir découverte avec le tome 9. Un thriller qui possède tout ce que j'aime, de l'action, des rebondissements, du mystère et une ambiance pesante et angoissante. Un très bon thriller qui a confirmé que j'adore cette saga.
Les + :
* J'ai aimé redécouvrir Assad et Carl à leur début. Un duo haut en couleur et atypique qui se complète à merveille. Ils sont très différents, mais tous deux intéressants, bien travaillés et attachants. Carl est froid, distant, destructeur, impulsif, renfermé et antipathique. Assad lui est plus charismatique, ambivalent, mystérieux, posé, réfléchi et sociable.
* L'alternance de point de vue entre les enquêteurs et la captive fait monter le suspense et a permis de me captiver encore plus.
* l'enquête en elle-même était très prenante. J'ai adoré suivre Carl et Assad dans celle-ci. J'avais envie de savoir pourquoi Merete kidnappée 5 ans auparavant, est restée captive tout ce temps. Mais j'ai également découvert pourquoi et comment a été créé le département V.
* Mon petit coup de cœur pour la plume de Jussi Adler-Olsen est confirmé. Il a une plume incisive, fluide, percutante, rythmée et immersive.
Les – :
* J'ai trouvé l'enquête assez longue à se mettre en place. Le début a été un peu laborieux. De plus, quelques longueurs tout au long du roman.
Commencer un polar danois, donc " Miséricorde ", cela conduit dans un autre univers de personnages, d'une approche de la situation économique, de lieux inconnus et surtout d'une autre façon de vivre le quotidien. Ainsi en sera-t-il de ce policier scandinave.
Une femme seule, dans le noir absolu, sans point de repères, si ce n'est qu'elle comprend qu'elle est enfermée dans une cage, sans aucun bruit sauf celui de ses cris désespérés.
Carl Mørck, un ex-super-flic, qui a sombré après une triste affaire criminelle, se trouve momentanément sans affectation. Que va-t-on faire de lui ? Mais devant son expérience professionnelle et surtout sa hargne et malgré ses relations conflictuelles avec ses collègues, il se voit attribuer un poste nouvellement créé – pour répondre à la population qui s'inquiète des affaires non résolues, autrement dit les cold case – sous le nom département V, avec pour commencer, sa seule présence, pour peu de temps !
Il choisit une affaire vieille de cinq ans, la disparition de Merete Lyyngaard, vice-présidente du parti des démocrates, à bord d'un ferry. Faute d'indices, l'affaire fut classée ; mais elle sera sa première affaire, aidé par le syrien Hafez el Assad, homme à tout faire, qui vient le seconder. Un duo de choc, qui ne recule devant rien pour trouver le maximum d'indices afin de résoudre cette affaire. La relation entre ses deux enquêteurs, assez surprenante, représente un temps fort dans la recherche de la vérité ; on peut même dire qu'ils possèdent une grande complicité, doublée d'une parfaite complémentarité.
Pas de temps mort, pour retrouver cette femme politique disparue, avec de tels caractères bien trempés. Ce qui créé une action qui monopolise en permanence notre attention, et même si l'intrigue est loin d'être inextricable, le plaisir d'en connaître le dénouement est indéniable. En conséquence, on suit avec pugnacité la progression vers le dénouement, qui génère un long moment intense d'anxiété.
" Miséricorde " ce thriller est le premier tome de la série – Les enquêtes du département V – de neuf tomes de " Jussi Adler Olsen ". Et de ce pas, je vais commencer avec impatience le tome deux.
Avant sa grave blessure par balle en service, le policier Carl Morck n’était déjà pas en odeur de sainteté avec ses collègues. Mais depuis son retour de convalescence, c’est encore pire. Morck a perdu un équipier et le second est désormais paraplégique, et inconsciemment ou pas, tout le monde (lui compris) le tient pour plus ou moins responsable du fiasco. Son supérieur profite d’une aubaine administrative pour le placardiser dans un tout nouveau département chargé des « cold case », le Département V. Relégué au sous-sol, avec juste un homme à tout faire même pas policier à son service, Morck végète en feuilletant sans conviction des vieux dossiers jamais classés. Mais son aide à tout faire, Assad , un réfugié Syrien, adore le travail d’enquêteur, et n’a aucune envie d’être assigné au ménage. C’est Assad qui pousse Morck vers leur première enquête, élucider la disparition en mer d’une jeune politicienne de gauche, Merete Lyyngaard, survenue il y a 5 ans et dont on n’a jamais retrouvé le corps.
J’ai découvert les enquêtes du Département V par le truchement du cinéma, car plusieurs romans ont été mis en image. Et j’ai décidé, pour cette fois, de prendre strictement dans l’ordre (et non dans l’ordre où je les trouve) les enquêtes racontées par Jussi Adler Olsen. Et cette toute première enquête, « Miséricorde » est vraiment très prometteuse. D’abord, il y a le duo improbable de Carl et d’Assad, qui fonctionne étrangement vite alors que rien n’aurait pu le laisser croire. C’est la personnalité un peu fantasque d’Assad qui emporte le morceau. A son contact, Morck sort de sa torpeur et reprends peu à peu gout à son métier. Ensemble, ils mènent une enquête pour le moins tordue, 5 ans après les faits, relevant de plus en plus de négligences dans l’enquête initiale (ce qui n’arrange pas ses relations avec ses collègues). Morck est un ours bourru qui a parfois des méthodes discutables, mais il est méticuleux. Il ne le savait pas, mais il est parfait pour les « cold cases » ! Il découvre que la disparition de Merete n’est aucunement un suicide, ni un accident. Ce qu’ils vont découvrir dépasse ce qu’ils auraient pu imaginer. Car Merete n’est pas morte en réalité, grâce au tout premier chapitre (je ne spoile rien), on comprend qu’elle est retenue prisonnière depuis tout ce temps (5 ans !) dans un container par un inconnu qui ne lui parle pas. Le calvaire de Merete est raconté par épisode, intercalé avec l’enquête de Carl et Assad. C’est un calvaire proprement inimaginable de cruauté et de sadisme qui fait froid dans le dos. A quel point est-il crédible ? Je ne saurais pas le dire, 5 ans de séquestration dans un container sans rien du tout, à part un peu deux sceau (un pour la nourriture, un pour un semblant d’hygiène) par jours et encore, pas tous les jours, pas grand monde ne pourrait y survivre. Quant aux motivations du ravisseur, elles sont psychiatriquement explicables, j’imagine, mais à un esprit sain elles paraissent un peu surréalistes ! Le dénouement, qui dure longtemps comme dans un film américain, est à la fois trépidant, angoissant, et assez cruel. A peine de roman refermé on a envie de retrouver très vite Assad et Carl pour un nouveau dossier, car le roman est très agréable à lire malgré les horreurs racontées, il ne manque pas d’humour aussi, ce qui est appréciable et malheureusement pas très fréquent avec les romans noirs. Je conseille donc vivement ce polar danois comme je conseille son adaptation cinématographique (dont je peux dire aujourd’hui qu’elle est très fidèle). Mais attention, comme souvent avec les scandinaves, il ne faut pas avoir peu de la noirceur, du glauque et des crimes atroces, âmes sensibles, passez pudiquement votre chemin !
J'ai lu plusieurs tomes de cet auteur. Des enquêtes différentes et toujours les mêmes enquêteurs (le département V). On s'attache aux personnages... Vivement un prochain tome
J'ai bien aimé ce roman, mais je m'attendais à y être plus immergé. Il m'a parfois été difficile de me concentrer et certains passages m'ont paru un peu lourd. La structure narrative est bonne et les personnages bien campés, surtout Assad, ce dernier étant le point fort. Je lirai le second tome rien que pour lui. C'est surtout l'histoire qui ne m'a pas beaucoup passionné.
Comme d'autres auteurs scandinaves, le décor vaut autant que l'histoire dans la qualité du bouquin
chronique : https://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2020/07/chronique-litteraire-departement-v.html
C’est un thriller scandinave comme je les aime, même si malheureusement, j’avais deviné dès le début le possible dénouement et j’ai espéré jusqu’à la fin me tromper.
J’ai découvert cette saga de roman par les films en premier, d’ailleurs des films excellents au passage.
Ce tome 1 est bien mené. On assiste à la création du fameux département V et à leur première enquête.
J’ai tout de suite adoré les deux personnages principaux à savoir Carles et Assad, je trouve que leur duo fonctionne très bien.
L’intrigue est bien ficelée, même si l’auteur aurait pu disséminés les indices de façon plus discrète.
Car oui je suis plutôt du genre bon public, j’aime me faire surprendre par le dénouement notamment et je déteste deviner, je préfère largement la surprise…
Ce thriller se lit tout seul, d’ailleurs ce que j’apprécie beaucoup dans ce récit c’est qu’il n’y a pas de scènes gore comme on peut en trouver dans certains du genre.
SUITE SUR LE BLOG
Magnifique... je ne connaissais pas cet auteur et à la suite d'un post sur les réseaux sociaux il m'a été recommandé. Comme j'avais le livre, sans le savoir, dans ma bibliothèque je l'ai attaqué de suite.
Carl Morck, policier mis au placard, se voit confier le département V... il recrute un assistant : Assad, immigré d'origine syrienne. Voilà une équipe de choc plutôt incongrue. A eux deux ils vont se mettre sur la piste de Merete Lyyngaard disparue cinq ans plus tôt.
De fil en aiguille Morck est bien obligé d'accepter qu'Assad est un bon élément et que ses remarques sont pleines de bon sens.
520 pages prenantes, pleines de rebondissements qui se lisent d'une traite. Jussi Adler-Olsen nous captive d'un bout à l'autre du livre. de l'installation au sous-sol du service à la découverte des lieux de crime, en passant par la visite d'un hôpital pour handicapés mentaux on ne s'ennuie pas. il y a toujours ce petit quelque chose qui vous tient en haleine.
Amateurs de polars si vous ne connaissiez pas cet auteur je vous recommande
Ce livre est le premier de la série (voir profanation, délivrance, dossier 64....)
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