Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Ouhaaaa je me suis régalée ... quel suspens
Aucune longueur dans ce pavé de plus de 700 pages.
Une bouteille à la mer, l'espoir d'être libéré mais Carl Morck et ses acolytes ne s'occupent que de cold case alors... ce message arrivera bien tard.
Néanmoins, un serial killer sévit toujours et, ici, pas de nouvelle bouteille pour retrouver les enfants.
L'équipe un peu cabossée et aux méthodes iconoclastes, arrivera t'elle à temps ?
Comme toujours du suspense, des rebondissements, et de l'humour.
Ce tome vaut le détour.
lors que le département V traverse une sale période, le suicide d’une femme oblige l’équipe de Carl Mørck à replonger dans une affaire non résolue de 1988.
Carl Mørk et l’équipe du Département V découvrent avec stupeur que depuis trente ans, un tueur particulièrement rusé choisit avec une régularité effrayante une victime et l’élimine en déguisant ce meurtre en accident ou en suicide. À chaque fois, sur le lieu du crime, un petit tas de sel.
"Souvent, bien trop souvent, Carl avait rêvé de pouvoir aller se promener à l’intérieur de têtes dont la mémoire était éteinte pour toujours. D’y glaner des réponses que la mort était venue précipiter dans le néant, des explications à jamais hors de portée.
Où était Sysle Park, en ce moment ?"
Cette 9èmes enquêtes du département V nous permet de retrouver les précédents protagonistes qui sont pour certains atypiques. Un début d’enquête qui a quelques longueurs et une intrigue en dessous des précédents tomes mais une fois lancé nous entrons dans les rouages de celle-ci, une fin légèrement bâclé. Ce tome a de nombreuses faiblesses mais la qualité du cœur de l’intrigue rattrape les défauts.
Avec cette dixième enquête du Département V, Carl Mørck et ses acolytes Assad, Rose et Gordon tirent leur révérence.
Même si on ressent un petit pincement au cœur tellement cette petite bande est attachante, il était temps que cette saga policière danoise se termine et que Jussi Adler-Olsen passe à autre chose.
L'impression parfois de tourner en rond et des aventures en peu en deçà me poussent à le penser. Et « 7 m2 », qui n'est pas le meilleur de l'auteur, le confirme.
Dans ce dernier opus, Carl Mørck se retrouve emprisonné. Rattrapé par un événement passé dont il ne parvient pas à se souvenir, il est soupçonné de multiples délits.
Lâché par sa hiérarchie et l'opinion publique, menacé par des tueurs coriaces, l'enquêteur est heureusement soutenu par ses proches qui vont tout mettre en œuvre pour le sortir de l'impasse et mettre au jour la vérité.
Le récit, qui court sur plus de six cents pages, traîne en longueur et ce n'est que dans le dernier quart du livre qu'il devient un peu plus palpitant.
Dommage d'avoir dû attendre aussi longtemps.
http://papivore.net/litterature-scandinave/critique-7-m2-jussi-adler-olsen-albin-michel/
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