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J ai achetez se livre au forum à limoges qu il y a tous les ans j ai rencontré l auteur et il m'a attirer, sur le thème de buffet, grand artiste ,une bonne lecture en perspective...
DANS une des salles de vente de l hotel drouaut , un commissaire priseur a ete tué au moyen d un instrument de torture " la vierge de nuremberg". Et voila le commandant frederic vicaux lancé dans une nouvelle enquete dans le milieu fermé des marchand d art
un galeriste puis un expert completent la liste sordie. Tandis qu un ancien paparazzi qui a finit sdf apres un terrible accident le soir de la mort de Diana , vient faire part à la police de la disparition de trois jeunes filles. Le suspence est l outill d eric mercier , docteur en histoire de l art et commissaire d exposition pour nous plonger dans un monde erudit mais tres opaque , aux pratiques parfois douteuses
sur fond de scandale reel, celui des savoyards qui avaient le monopole des transports de biens a l hotel drouaut , dissous apres des condamantions pour vols. On ne verra peut etre plus certains tableaux du meme oeil
Genre : Polar
Avis : TORTUEUX
Le scandale de 2009 éclaboussant l’hôtel Drouot et la mort de Lady Diana planent sur le roman comme des ombres maléfiques qui auraient inspiré ce deuxième polar de l’auteur Éric Mercier, mettant en scène le Commandant Frédéric Vicaux.
Un commissaire-priseur est assassiné et retrouvé dans une vierge de Nuremberg, instrument de torture du Moyen-âge sorti d’un château pour une vente aux enchères. Pascal Leroux expie une culpabilité chez Emmaüs et découvre un vieux Nikon contenant les photos de trois jeunes femmes. Quel rapport entre les deux faits ? Comment les enquêtes du Commandant et du photographe vont-elles se croiser pour résoudre une affaire dans laquelle, passé, présent, vengeance et marché des œuvres d’art vont se mêler ?
Même si les paragraphes un peu mélangés parfois m’ont délicatement bousculée, j’ai apprécié cette lecture qui m’a immergée dans un milieu que je ne connais pas et des faits divers qui ont fait la une de l’époque. C’est une porte d’entrée pour voir la réalité du blanchiment d’argent et les turpitudes des voleurs en col blanc autant qu’une enquête policière classique. L’environnement est glauque ; les œuvres à vendre ont souvent des histoires secrètes.
Il y a de bons rebondissements dans l’histoire et vers la fin, le rythme s’est accéléré pour mon plus grand plaisir. L’écriture est efficace, non jargonnante, fluide. De quoi garder un suspense de qualité.
En plus, vous le savez, j’aime saliver au cours de mes lectures, alors ici, devant la confiture de mirabelles, le ballotin de chocolat à la fève » criollo », le rosé du Clos Lansarine, le Manzanilla, j’ai été particulièrement attentive à compléter les renseignements égrainés.
Je remercie les Editions de la Martinière et #NetGalleyFrance pour le Service presse de #PaniqueàDrouot
Eric Mercier nous offre une incursion dans le domaine du marché de l’art et comme dans tout marché cela implique argent, jalousie, vols, magouilles, corruption… Il est facile pour l’auteur de par son métier (docteur en histoire de l’art et commissaire d’expositions) de situer son histoire dans le monde de l’art mais il est plus délicat d’y inclure meurtres et suspens. Avec Panique à Drouot c’est chose faite !
A Drouot, un commissaire-priseur est retrouvé assassiné d’une façon peu commune ; avec un instrument de torture du moyen-âge appelée la Vierge de Nuremberg. Qu’a-t-il bien pu faire pour être assassiné de manière aussi barbare ? Le commandant Vicaux et son adjointe Laetitia sont chargés de l’enquête mais des milliers de personnes fréquentent l’hôtel Drouot… L’enquête s’avère complexe !
Parallèlement un ancien paparazzo Leroux, devenu alcoolique et SDF après avoir provoqué un accident, dégotte un petit boulot et par hasard trouve un appareil photo. Dans ce Nikon une carte mémoire avec trois portraits de femme, il n’aura de cesse de les retrouver et part à leur recherche.
D’autres crimes sordides vont être perpétrés dans la sphère des commissaire priseurs, les trois femmes ont disparues et sont introuvables, Vicaux fulmine et cherche. Quel est le lien entre les deux histoires ?
Comme une toile sous le pinceau du peintre qui prend en intensité les chapitres courts s’enchaînent et gagnent en vigueur, l’intrigue qui prend de l’ampleur amène tranquillement le lecteur jusqu’au final qui réserve une belle surprise.
C’est passionnant un excellent polar ! Éric à l’art d’immerger le lecteur dans ce monde qu’il maîtrise il nous fait découvrir ce milieu où l’on approfondi nos connaissances derrière ce rideau rouge d’ailleurs mention spéciale pour la couverture que j’adore !
Mes vifs remerciements à l’auteur pour sa confiance et pardon pour le retard apporté à mon retour.
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