"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Combien mesure l'enfer ? 7m2. C'est la dimension de la cellule dans laquelle Carl croupit. Témoin gênant, il a été piégé par une puissante organisation de trafic de drogue. Depuis, il est devenu l'ennemi public n°1, même aux yeux de la police.
Il ne lui reste qu'une arme : son équipe. Mais Rose, Assad, Gordon et Mona parviendront-ils à le sauver alors qu'au sein de la prison sa tête est mise à prix ?
Jussi Adler Olsen signe l'apothéose de la série des enquêtes du Département V, traduite en plus de 40 langues, vendue à plus de 27 millions d'exemplaires dans le monde et bientôt adaptée par Netflix.
J'ai lu tous les livres du Département V de Jussi Adler Olsen et j'ai été un peu triste que ce volume soir le dernier. J'ai un peu moins apprécié ce roman que certains autres car il est fait référence aux autres enquêtes de Carl Morck, un des personnages principaux de la série, et comme j'ai lu certains livres il y a longtemps, je ne m'en rappelle plus bien. De plus, il y a beaucoup de personnages et parfois c'est compliqué. Un rappel en début de roman aurait été une bonne idée.
Avec cette dixième enquête du Département V, Carl Mørck et ses acolytes Assad, Rose et Gordon tirent leur révérence.
Même si on ressent un petit pincement au cœur tellement cette petite bande est attachante, il était temps que cette saga policière danoise se termine et que Jussi Adler-Olsen passe à autre chose.
L'impression parfois de tourner en rond et des aventures en peu en deçà me poussent à le penser. Et « 7 m2 », qui n'est pas le meilleur de l'auteur, le confirme.
Dans ce dernier opus, Carl Mørck se retrouve emprisonné. Rattrapé par un événement passé dont il ne parvient pas à se souvenir, il est soupçonné de multiples délits.
Lâché par sa hiérarchie et l'opinion publique, menacé par des tueurs coriaces, l'enquêteur est heureusement soutenu par ses proches qui vont tout mettre en œuvre pour le sortir de l'impasse et mettre au jour la vérité.
Le récit, qui court sur plus de six cents pages, traîne en longueur et ce n'est que dans le dernier quart du livre qu'il devient un peu plus palpitant.
Dommage d'avoir dû attendre aussi longtemps.
http://papivore.net/litterature-scandinave/critique-7-m2-jussi-adler-olsen-albin-michel/
Avec ce volume,le 11ème,J.Alder Olsen en termine avec les enquêtes du département V en ne manquant pas d'expliciter le pourquoi du comment de ce qui précède.Nous avons passé d'excellents moments avec Carl Morck et ses enquêteurs;mention spéciale à Assad qui a pris de l'épaisseur dans les derniers volumes!
Le milieu carcéral est particulièrement décrit puisque Carl se révèle incarcéré...Et les méchants sont particulièrement méchants!
Ce n'est pas l'enquête que j'ai préférée mais un très bon moment de lecture quand même.
Dans le passé, Carl Mørck avait été pris dans une fusillade qui avait laissé son collègue Hardy tétraplégique, tandis qu'un autre collègue avait perdu la vie. La résolution de cette affaire clôture les enquêtes du Département V.
La boucle est blouclée et Rose, Assad et Carl vont me manquer.
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