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Raymond Queneau dessinateur et peintre ? Mais oui ! Simple violon d'Ingres ? Mais non ! Au lendemain de la guerre, en quête d'une possible reconversion, le père de Zazie laisse un temps la plume pour le pinceau.
Il réalise entre 1946 et 1952 une centaine de dessins, près de six cents gouaches et aquarelles. Tels qu'il les pratique, le dessin et la couleur deviennent un exercice de liberté, allègre, dynamique, ludique, gourmand. Il mélange les styles sans préoccupation esthétique ou théorique, se promène dans une réalité insolite, souvent cocasse, parfois mélancolique. On dirait qu'il poursuit ses poèmes par le graphisme, qu'il jongle avec les mots par le vocabulaire des formes.
Objet d'une seule exposition personnelle en 1949, cette vocation buissonnière forme une oeuvre à part entière. Un gisement poétique méconnu et surprenant, qui révèle un autre visage de l'écrivain. A travers un ensemble de plus cent cinquante reproductions, le voici donc, pour la toute première fois, en ses couleurs. Sur le fil de la biographie, à l'aide de nombreux documents inédits, le texte de Dominique Charnay évoque Queneau dans le monde de la peinture : ses rencontres, ses amitiés, ses goûts, ses opinions.
Des origines du surréalisme aux années soixante-dix : Tanguy, Masson, Hélion, Torres-Garcia, Mirà, Léger, Picasso, Chaissac, Dubuffet et bien d'autres témoignent à leur manière de ses rapports passionnés avec l'art de son temps.
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