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Casablanca, début des années 2000. Un peintre, au sommet de sa gloire, se retrouve du jour au lendemain cloué dans un fauteuil roulant, paralysé par une attaque cérébrale. Sa carrière est brisée et sa vie brillante, faite d'expositions, de voyages et de liberté, foudroyée.
Muré dans la maladie, il rumine sa défaite, persuadé que son mariage est responsable de son effondrement. Aussi décide-t-il, pour échapper à la dépression qui le guette, d'écrire en secret un livre qui racontera l'enfer de son couple. Un travail d'auto-analyse qui l'aidera à trouver le courage de se libérer de sa relation perverse et destructrice. Mais sa femme découvre le manuscrit caché dans un coffre de l'atelier et décide de livrer sa version des faits, répondant point par point aux accusations de son mari.
Qu'est-ce que le bonheur conjugal dans une société où le mariage est une institution? Souvent rien d'autre qu'une façade, une illusion entretenue par lâcheté ou respect des convenances. C'est ce que raconte ce roman en confrontant deux versants d'une même histoire.
Le bonheur conjugal - Tahar Ben Jellloun
Dans la première grande partie, à Casablanca, un peintre vient d’être touché par un AVC. Cloué dans un fauteuil roulant, refusant de sortir de son atelier et de voir son épouse et persuadé qu’elle en est responsable, il va retranscrire dans un cahier l’enfer de son couple.
Dans la seconde partie, son épouse après avoir découvert son cahier va donner sa version des faits.
Tahar Ben Jelloun retranscrit non pas le bonheur conjugal, mais les affres d’un couple, les blessures à la confession musulmane. Cette désillusion est bien entendu subjective, mais on y retrouve des vérités bien ancrées dans la relation de l’homme et de la femme. L’auteur laisse un tiers du livre pour que la femme, plus concise, argumente et livre sa vérité. Sans doute une erreur de l’auteur : la femme est plus prolixe !
Les chapitres commencent par des épigraphes toujours plaisantes à découvrir, mais si le roman est bien construit, j’ai une impression de déjà lu, de connaître ce ping-pong de disputes, peut-être d’avoir trop lu les débats des maux, allez savoir…
Voilà que je viens de tourner la dernière page de ce roman. Que dire ???
Je dois avouer que j'ai bien failli abandonner ma lecture, mais étant donné qu'il s'agit d'un choix de ma fille, pour ne pas la décevoir, j'ai poursuivi, et j'ai bien fait.
J'ai trouvé le début un peu long, sans intérêt, sans piquant, sans suspense, sans envie. J'ai poursuivi, et quelle belle découverte au 3/4 du roman de plonger dans le point de vue de la femme, de cette femme que le peintre dénigre.
Ce final ajoute un grand plus à cette lecture, qui sans cela aurait été fade
J'aime bien la plume de Tahar Ben Jelloun, j'ai choisi cette fois ci celui là pour le titre et la couverture.
Bon ! c'est l'histoire d'un artiste peintre marocain qui aime les femmes, qui nous raconte sa vie conjugale.
Au premier tiers c'était plus la curiosité qui me faisait tourner les pages, au deuxième, je commençais un peu à m'ennuyer de ce couple qui battait des ailes, lui infidèle, elle colérique ne cherchant qu'à se venger.
Arrive enfin le dernier tiers où la femme de l'artiste prend parole et nous livre sa vérité à elle.
Ne dit on pas qu'il faut écouter les deux versions dans un conflit ???!! Là il ne s'agit plus de deux versions avec quelques différences mais de versions carrément opposées.
Qui croire?! A qui imputer cet échec ?
Trahison, infidélité, malheur, colère et tristesse... un couple ce n'est pas ça non ! Ça ne peut pas être ça! Trop d'incompréhension entre ces deux êtres, trop de non dits... et cette clé du bonheur! Elle est où ?
Ce roman porterait mieux le titre d'échec conjugal !!! Il ne m'a pas emballé plus que ça !
Ah, le bonheur conjugal ! Qu’en dire ? Qu’en écrire encore ?
Tahar Ben Jelloun s’y colle. Mais bonheur….. bonheur….. ne devrait-on pas plutôt dire ici malheur. Car il s’agit bien d’une catastrophe conjugale.
Un peintre en pleine gloire, dont le nom n’est jamais dit, donne sa version de l’échec de sa vie maritale. Puis vient la version de sa femme.
Et oui, parce qu’il y a toujours deux versions dans l’affaire, et il est bien difficile de trancher entre les deux. Disons le, c’est carrément impossible. Aucun des deux n’est vraiment blanc, aucun n’est vraiment noir.
Parce qu’on connaît bien la musique ; à un moment survient la lassitude, ou pire le désamour, ou pire encore la haine, et alors là….. que faire ?
Une histoire somme toute très traditionnelle écrite d’une manière limpide.
Cependant, je n’y ai pas retrouvé la profondeur de certains livres de l’auteur.
Tout est dit dans la quatrième de couv... et pourtant je m'imaginai un roman plus léger, plus drole... plus romantique peut être ! Comment peut on en arriver à ressentir autant de haine ? Pourquoi de petites choses insignifiantes prennent elles un telle ampleur ? J'ai vraiment eu du mal avec ce roman, les deux parties bien distinctes montrent bien la distance qu'il y a entre ces 2 époux, la différence de culture, de milieu d'origine...
Un livre dur à la limite du supportable.
"Le bonheur conjugal" de Tahar Ben Jelloun prix goncourt en 1987 pour "la nuit sacrée". Tahar Ben Jelloun fait parti de cet académie.
"Le bonheur conjugal" n'est pas une apologie du mariage, c'est le moins que l'on puisse dire !
On dit : "qui n'entend qu'une cloche, n'entend qu'un son".
Dans ce livre on entend les deux "sons de cloches" l'un après l'autre et il est surprenant (ou pas) de constater qu'ils ne sont pas du tout sur la même longueur d'onde !
Un livre témoignage ? ou une fiction ? En tout cas je le déconseille aux couples sur le point de se marier. quoi-qu'on dise également "un homme (ou une femme) averti en vaut deux."
Une impression de mal-être, voilà ce que m'a laissé cet ouvrage.
Je n'ai pas trop aimé.
dans ce livre Ben Jelloun ne nous épargne rien de la vie que tout couple connait ou peut connaitre après un certain nombre d'année.Bien que l'histoire se passe dans le milieu artistique,elle est banale.On s'aime puis on se déteste mais on n'arrive pas à se séparer!J'ai trouvé ce livre long et parfois ennuyeux!Il n'apporte pas grand chose au lecteur quant à la solitude du couple!
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