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La fille du fil ; la soie, une histoire de femmes cévénoles

Couverture du livre « La fille du fil ; la soie, une histoire de femmes cévénoles » de Bergami/Le Maitre aux éditions Nouvelles Presses Du Languedoc
  • Nombre de pages : (-)
  • Collection : (-)
  • Genre : Histoire
  • Thème : Histoire
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

« Un charme particulier entoure les travaux de la soie, elle ennoblit tout ce qui la touche. » Michelet.

La soie : un mot magique qui porte aux rêves. Quand on tient dans ses mains une étoffe ou un vêtement de soie, on la sent vibrer, elle est à la fois craquante et douce, fragile et solide.... Voir plus

« Un charme particulier entoure les travaux de la soie, elle ennoblit tout ce qui la touche. » Michelet.

La soie : un mot magique qui porte aux rêves. Quand on tient dans ses mains une étoffe ou un vêtement de soie, on la sent vibrer, elle est à la fois craquante et douce, fragile et solide. Sa manière d'accrocher la lumière, son éclat lumineux la rendent incomparable. Cette magie en a fait, au cours des siècles, une matière unique, et rare dont l'histoire passionnante est racontée à travers les fabuleuses routes de la soie. Mais loin de ces paysages exotiques, c'est dans les contrées reculées des Cévennes, réputées pauvres, que des kilomètres et des kilomètres de fil de soie ont été filés.
C'est avant tout une histoire de femmes, les magnanières et les fileuses. Ce n'est pas seulement parce que la soie est la plus noble des matières premières textiles, une fibre d'une délicatesse sans égale qu'on l'associe à la féminité. C'est aussi parce que, de tout temps, son travail a été une activité dans laquelle les femmes ont joué un rôle essentiel alors que la beauté du produit passe par une oeuvre de mort, celle de la chrysalide. Cette industrie enrichit les filateurs, pour ces ouvrières les conditions de travail sont très difficiles et les salaires dérisoires. Curieusement, ces femmes se souviennent surtout des bons côtés, nostalgie de leur jeunesse...
Alors que l'histoire officielle de la sériciculture est écrite au masculin, ce livre souhaite rendre hommage à ces femmes en montrant une réalité peu connue, en dévoilant l'envers du décor. En mêlant archives, témoignages, en distordant la réalité historique, l'auteure dénouera sous la forme d'une fiction les fils de sa propre histoire.

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