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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non.
J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Le narrateur semble heureux quand un mal de dos soudain vient à le faire souffrir horriblement. Et là tout s'enchaîne : il perd son emploi et sa femme demande le divorce. Il est obligé d'admettre que sa vie n'était pas la plus joyeuse, surtout depuis le départ de ses enfant devenus "grands". Il multiplie les visites médicales : spécialistes, radiologues, psy, magnétiseur... Rien n'y fait.
Foenkinos déborde d'imagination une fois de plus et fait rebondir le narrateur d'aventure en aventure. Il y a de l'humour, de l'émotion et on ne s'ennuie pas. Que demander de plus ? Un bon roman.
Encore une fois, David Foenkinos trouve le “petit plus” très original dans son écriture, “La Simplicité”.
L'histoire est écrite à la première personne du singulier, et j'ai trouvé cela tellement évident, tellement normal, un récit qui m'a renvoyé régulièrement un miroir sur ma propre vie…
Un livre qui pourrait paraître simple pour de nombreux lecteurs, Mais…
Tout part d'une douleur, une simple douleur indéfinie dans le dos. Cette douleur va augmenter de plus en plus, au point d'en devenir obsédante. Cette douleur va permettre une remise en question complète de la vie de notre pauvre héros.
Il va dès lors entamer des recherches sur le pourquoi.
Ce seront d'abord des recherches médicales qui n'aboutiront malheureusement pas, jusqu'à se diriger vers des méthodes plus larges, et même psychologiques.
David raconte la vie de Monsieur tout le monde. La vôtre, la mienne…
Celle d'un homme qui s'est perdu à force de vouloir s'effacer. Le stress au travail, une certaine insatisfaction à la maison, l'impression d'être devenu invisible… Que ce soit dans sa vie de famille ou sa vie professionnelle, aujourd'hui, il a tout perdu…
N'est-ce pas le bon moment pour rebondir et reprendre sa vie en main ?
Ne sommes-nous pas, tous responsable de notre vie et de notre bonheur ?
Fermez les yeux.
Inspirer un long moment… encore un peu. Bien.
Bloquer.
Souffler maintenant jusqu'au bout…
Voilà !
C'est exactement ce que j'ai ressenti à la lecture de ce roman.
Un énorme coup de cœur où j'ai souri de nombreuses fois, où je me suis retrouvé régulièrement.
C'est un livre rempli d'humour et d'espoir.
Alors, détendez-vous et continuez à lire !
Les chapitres sont très courts et tous liés les uns entre eux par une “Intensité de la douleur”, un “État d'esprit”.
C'est fluide, c'est très beau…
Intensité de la douleur : aujourd'hui, 4.
État d'esprit : heureux.
Ça commence mal.
Mal au dos.
Dorénavant, le héros de cette histoire n'aura de cesse de vouloir y remédier.
D'abord , par la médecine traditionnelle. Urgences, IRM, ostéopathe...
Le verdict tombe.
Rien.
Il n'a rien.
Commence alors la descente aux enfers. Il perd son emploi, par une malveillance. Son beau-pere meurt et sa femme le quitte. Les promesses faites à ses enfants ne sont plus que de vagues souvenirs. Mais plus vagues encore, les engagements vis à vis de lui-meme...
Et si elle était là, la solution ?
Si cette douleur physique n'était là que pour le secouer, le réveiller. Lui interdire de se taire. de se contenter.
Ce n'est pas un mauvais livre.
Foenkinos maîtrise de toute façon suffisamment bien sa plume pour que ce ne puisse pas être un mauvais livre. Malgré tout, il y a quelques longueurs, et j'avoue avoir eu un peu envie de le bousculer parfois. Mais c'est somme toute intelligemment mené, et si c'est attendu, sans grande surprise, ça reste parfois cocasse, jamais dégueulasse à lire.
Pas son meilleur.
Loin d'être le pire de la littérature française...
Un livre interpellant sur la vie que nous menons à une époque où tout va vite, où nous sommes sans cesse sous pression, où nous devons être performants dans tous les domaines. Pourtant la vie nous blesse, au propre et au figuré, chacun a des regrets, des rancoeurs qui finissent parfois par peser trop lourd sur nos épaules j'usqu'à ce qu'on en ait "plein le dos". D'après mon kiné, cette expression n'est pas le fruit du harsard... raison pour laquelle ce livre m'a interpellée.
Une belle lecture pour réfléchir à notre condition d'humains du 21e siècle.
fable ou réalité ? peu importe.. ce livre nous parle à nous, pauvres funambules qui ne cessons de chercher le point d'équilibre. Il fait sourire, rire parfois.. est-ce bon signe ou simplement, le fait que cet ouvrage témoigne d'une époque, d'une quête et d'un mal, celui de (re)trouver les bonheurs simples et savoir s'écouter, sinon c'est notre corps qui s'exprime !
Arffff j'hésite ... en lisant la quatrième de couverture je me suis posée la question de ce qui pouvait le "coincer" et lui causer ce mal de dos ... j'aime bien les livres un peu psychologie ou qui font travailler le mental et le perso mais là je suis restée déçue et j'ai trouvé un peu" longuet" ... je reste mitigé sur le livre
Un livre facile sans rien d'exceptionnel: L l'histoire d'un homme qui a mal au dos et va se rendre compte petit à petit qu'en faisant le ménage de sa vie, il guérit... .
Après avoir lu "La délicatesse", "Les souvenirs" et "Charlotte", un régal à chaque fois, je suis revenu un peu en arrière dans l’œuvre de David Foenkinos pour découvrir "Je vais mieux".
Le narrateur, au fil des pages, nous fait partager douleurs et sentiments d’un homme arrivé à la quarantaine et qui souffre subitement d’un terrible mal au dos, le mal « à la mode » comme il entend dire très vite. Pourtant, cette douleur qui peut atteindre un degré assez élevé – l’auteur note régulièrement de 0 à 10 son intensité – n’a aucune cause physique comme les divers examens (radios, IRM) le confirment.
Dans sa petite maison de banlieue avec jardin, il pense être heureux avec Élise, sa femme, mais leurs deux enfants volent de leurs propres ailes : Alice est avec un homme plus âgé et Paul, tout juste 18 ans, est à New York pour ses études. Cela, notre homme ne l’accepte pas : « Les enfants étaient nos romans et nous ne les écrivions plus. »
Dans son entreprise d’architecture, la rivalité avec Yann Gaillard est très forte et, avec ses parents, le courant n’est jamais vraiment passé. Après chaque épisode, il ajoute son état psychologique du moment qui va de « désespéré » à « prêt à tuer », en passant par « mystique », « russe », « marocain », « flou » ou encore « extatique », etc…
D’un examen à l’autre, rien ne résorbe sa souffrance qui peut même lui causer un malaise en pleine rue. Il consulte une magnétiseuse et un psychanalyste. Au travail, il ne peut que constater : « la vie en entreprise ressemblait à un pays sous occupation et je ne savais pas si je devais résister ou collaborer. »
Très vite, on se rend compte que la communication est quasi inexistante avec Élise qui va prendre une décision radicale après le brutal décès de son père. Sylvie, l’artiste, et Édouard, le dentiste, forment un couple d’amis fort utile mais rapidement encombrant.
Au fil des pages, David Foenkinos démontre une belle maîtrise des dialogues, réussissant une exploitation efficace des silences. Cela en dit souvent très long sur l’état du narrateur ou sur l’impuissance de ses interlocuteurs.
Le titre étant optimiste, inutile de cacher l’issue heureuse du roman. La solution à ses problèmes de dos arrive enfin de manière très inattendue quand, enfin, il réussit à régler ses problèmes relationnels mais c’est au lecteur de découvrir tout cela.
Chronique illustrée à lire sur : http://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
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