« Je m'appelle Thomas Drimm, j'ai 13 ans moins le quart, je n'ai l'air de rien, mais je suis en train de sauver la Terre. »Thomas Drimm vit dans une société « idéale » où le bio, le diététiquement correct et la chance font loi. Mais un beau jour, cet ado ordinaire, nul en tout et en surpoids, d'un coup de cerf-volant, tue accidentellement le Pr Pictone. Et le scientifique de se réincarner dans l'ours en peluche de Thomas ! Il confie alors au jeune garçon un secret terrifiant, celui de l'Antimatière... Brenda, sa belle et impétueuse voisine, est la seule à lui venir en aide, et c'est tiraillé entre les sautes d'humeur de la jeune femme et l'esprit parano du vieux savant que Thomas va découvrir l'exaltant et périlleux destin réservé aux super-héros.Cauwelaert prouve avec cette série que l'on peut divertir sans rien céder à l'exigence de sens. Trop bien ! François Busnel, L'Express.
Dans un monde où règne la ludocratie, où les gens sont obligés de jouer au casino et où Dieu est le Hasard, où le sport national est le Manball, un sport où des êtres humains se jettent dans une roulette géante et où la plupart du temps meurt. Un monde où tout le monde est contrôlé et qui semble logique, mais qui finalement ne l'est pas du tout et où les êtres humains souffrent. Donc dans ce monde vit un jeune garçon : Thomas Drimm, un jour, suite à un accident, il va se retrouver "meurtrier par inadversance" et cela va changer toute sa vie, son nounours va se mettre à lui parler et lui demander de sauver le monde. Mais peut-on vraiment faire cela quand on a que 13 ans moins le quart, qu'on est déjà meurtrier, et qu'on en pince pour notre voisine plus vieille? Et puis surtout est ce que Thomas a envie d'écouter un ours en peluche un peu gâteux?
L'histoire est vécu à travers Thomas, et des fois je me suis demandée si en fait il était pas complètement entrain de délirer, plus ça va et plus cela devient bizarre, il est question de fantômes, de contrôles, et le monde dans lequel vit le gamin ne donne pas envie (et pourtant donne l'impression qu'on y va à grand pas).
La fin me laisse pantoise, et il me faut ABSOLUMENT la suite.
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