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Didier Van Cauwelaert

Didier Van Cauwelaert
Didier van Cauwelaert est né à Nice en juillet 1960. Didier van Cauwelaert commence à écrire des romans très jeune, en fait à l'âge de 8 ans. L'année suivante, il envoie son premier manuscrit, un polar, l'histoire d'un serial Killer en culottes courtes, aux éditions Gallimard, sûr d'être publié... Voir plus
Didier van Cauwelaert est né à Nice en juillet 1960. Didier van Cauwelaert commence à écrire des romans très jeune, en fait à l'âge de 8 ans. L'année suivante, il envoie son premier manuscrit, un polar, l'histoire d'un serial Killer en culottes courtes, aux éditions Gallimard, sûr d'être publié. Refusé par les éditeurs pendant 13 ans, il persévère. Passionné de bandes dessinées, il écrit alors un scénario qu'il envoie au peintre Marc Chagall, le voisin de son oncle, pour qu'il le dessine (refus poli). À 12 ans, il écrit le livret d'un opéra pour guitare qu'il envoie à Alexandre Lagoya (aucune réponse). Sa première publication se fait dans le 'courrier des lecteurs' du magazine 'Télé 7 jours', que l'entretien imaginaire du jeune auteur avec Greta Garbo a séduit Après quelques années consacrées au théâtre (il joue Sartre, met en scène Beckett, Anouilh, lonesco) et une brève carrière de critique littéraire pour une télévision régionale. La consécration, attendue depuis plus de dix ans, vient en 1982 avec la publication de son premier roman Vingt ans et des poussières. En 1983, alors que se joue au théâtre sa pièce L'Astronome, il fait son service militaire au 12e Régiment du Train, avec Patrick Bruel. Ensemble, ils écrivent et montent le spectacle de Noël pour les enfants des gradés. Cette action héroïque leur vaut la médaille du régiment. Il a attendu longtemps le succès, mais aujourd'hui, avec l'impulsion du prix Goncourt en 1994, les ventes de ses romans atteignent les 700 000 exemplaires. Il admire Marcel Aymé de même que Romain Gary. Il reçoit le prix Goncourt en 1994 pour Un aller simple, le prix de la Fondation del Duca pour son premier roman, Vingt ans et des poussières, le prix Roger-Nimier en 1984 pour Poisson d'amour, le prix du jeune théâtre de l'Académie française et prix de la fondation Johnson pour L'Astronome, le Grand Prix des lecteurs du Livre de poche en 1999 pour La vie interdite, le prix Gutenberg du livre 1988 pour Les vacances du fantôme. Didier Van Cauwelaert s'est également vu attribuer le Molière 1999 du meilleur spectacle pour son adaptation au théâtre du Passe muraille. Ses pièces (L'astronome, Le nègre, Française et Noces de sable) lui ont valu le Grand Prix du théâtre de l'Académie française. Il se frotte régulièrement au cinéma, comme scénariste et dialoguiste (La Maison assassinée, L'Invité surprise, Triplex, Feu sur le candidat, Un Aller simple) et comme réalisateur (Les Amies de ma femme). L'auteur affirme aimer écrire dans la quiétude de la campagne et préférer la fréquentation des jardiniers à celle des milieux littéraires. Il tient à s'adresser au plus large public possible, pas seulement aux intellectuels, et c'est d'ailleurs par peur de l'hermétisme qu'il n'écrit pas de poésie. Quand il n'écrit pas, il fait du sport, s'occupe de son jardin ou de ses vieilles voitures : une Rover 1960 et une Jaguar 1968.

Vidéos relatives à l'auteur

Articles en lien avec Didier Van Cauwelaert (2)

Avis sur cet auteur (184)

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    Couverture du livre « L'Enfant qui sauva la Terre » de Didier Van Cauwelaert aux éditions Albin Michel

    Squirelito sur L'Enfant qui sauva la Terre de Didier Van Cauwelaert

    Un roman très court mais qui incarne parfaitement l’esprit du romancier : humain, positif et solaire.

    Le sujet est pourtant grave, l’action se situant dans une unité pédiatrique de maladies quasi incurables. Thomas en fait partie. Ce qui va pourtant bouleverser tous les diagnostics est qu’il...
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    Un roman très court mais qui incarne parfaitement l’esprit du romancier : humain, positif et solaire.

    Le sujet est pourtant grave, l’action se situant dans une unité pédiatrique de maladies quasi incurables. Thomas en fait partie. Ce qui va pourtant bouleverser tous les diagnostics est qu’il va être porteur d’une mission dirigée par un clown : sauver la terre. Vaste programme pour une planète atteinte, également, d’un mal quasi irréversible. Thomas pourra-t-il sauver la barrière de corail, les abeilles, les catastrophes climatiques...

    D’aucuns pourraient trouver ce récit excessivement léger, voire puéril. Il n’en est rien. Derrière la fable, de profonds sentiments surgissent et un appel à se réveiller est manifeste. Sauver la terre c’est se sauver soi-même. Prendre soin de soi sans refuser d’écouter son corps ; ne pas s’empoisonner, ne pas empoisonner l’environnement.

    Les petites marques de fabrique de Didier Van Cauwelaert ne manquent pas à l’appel, une écriture sans langue de bois pour remettre certains faits en place, comme par exemple, la crise du Covid ou les voitures électriques dites écologiques. Quel grand bien cela fait !

    Le domaine de Squirelito ==> https://squirelito.blogspot.com/2024/12/noisette-desperance-lenfant-qui-sauva.html

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    Couverture du livre « L'Enfant qui sauva la Terre » de Didier Van Cauwelaert aux éditions Albin Michel

    nathalie vanhauwaert sur L'Enfant qui sauva la Terre de Didier Van Cauwelaert

    Thomas a douze ans, il est en phase terminale de la maladie de Beaufort, en soins palliatifs. Il reçoit une étrange visite, celle d'une femme, clown qui semble tout connaître sur sa vie. Elle lui propose de soigner la terre à distance pour l'aider à se soigner lui-même. Mais qui est donc...
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    Thomas a douze ans, il est en phase terminale de la maladie de Beaufort, en soins palliatifs. Il reçoit une étrange visite, celle d'une femme, clown qui semble tout connaître sur sa vie. Elle lui propose de soigner la terre à distance pour l'aider à se soigner lui-même. Mais qui est donc cette femme ? Quelqu'un envoyé par son père? Une mythomane ? Une infirmière déguisée ? Ou tout simplement une femme qui vient lui redonner espoir et confiance ?

    En donnant un but à cet enfant : sauver la planète, c'est gros oui mais elle lui donne le pouvoir de se sauver lui-même. Elle va le détourner de sa douleur en le concentrant sur différentes missions : sauver la barrière de corail, sauver les abeilles , protéger la terre, le vivant !

    Notre inconscient provoque parfois des maladies, des troubles inexpliqués qui ne sont autres que des messages de notre corps. Se réconcilier avec soi-même, retrouver l'harmonie peut amener la guérison.

    Didier van Cauwelaert se met à hauteur de l'enfant, l'écriture est fluide, prenante, émouvante. En donnant, la femme clown peut faire du bien.

    On retrouve ici la patte et les thématiques préférées de l'auteur, le miracle existe-t-il ? Ne se trouve-t-il pas en nous? Il aborde notre belle planète malmenée, le réchauffement climatique, ses effets sur notre terre avec le dégel du permafrost, la disparition de la barrière de corail, la disparition à venir des abeilles, la conscience des arbres. Mais on retrouve également le pouvoir de l'amour, de la bienveillance et de la pensée positive, la réconciliation et l'harmonie.

    Si chacun fait sa part comme le colibri, nous pouvons améliorer notre monde car celui-ci se régénère toujours contrairement à l'homme.


    Ma note : 8.5/10


    Les jolies phrases

    Souffrir ne sert à rien.

    Quand l'esprit se laisse aller, le corps suit.

    S’acheter des panneaux solaires, trier ses déchets ou rouler électrique, c’est comme se contenter de traiter un cancer de la peau avec de l’autobronzant.

    Mais Dieu, c'est quoi ? C'est l'énergie d'amour, c'est tout ! Refuser d'en bénéficier ou d'en produire, c'est se contenter du diable ! C'est se condamner à la servitude de l'ego, aux illusions du rapport de forces, à la satisfaction matérielle comme unique objectif ! C'est ne vouloir connaître que la peur de se faire avoir, la méfiance, l'amertume, la rancoeur !

    Le meilleur moyen d'obtenir un résultat, c'est d'être heureux de l'avoir obtenu.

    Tout sait se régénérer dans la nature, sauf l'homme

    https://nathavh49.blogspot.com/2024/12/lenfant-qui-sauva-la-terre-didier-van.html

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    Couverture du livre « Hors de moi » de Didier Van Cauwelaert aux éditions Le Livre De Poche

    sylvie adam sur Hors de moi de Didier Van Cauwelaert

    A la sortie de l'hôpital suite à un accident de voiture, un homme rentre chez lui. Sa femme ne le reconnaît pas et un inconnu lui ouvre la porte. Il apprend que ce même inconnu lui a volé son identité et se fait passer pour lui en tant que chercheur et botaniste réputé. Il cherche à comprendre...
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    A la sortie de l'hôpital suite à un accident de voiture, un homme rentre chez lui. Sa femme ne le reconnaît pas et un inconnu lui ouvre la porte. Il apprend que ce même inconnu lui a volé son identité et se fait passer pour lui en tant que chercheur et botaniste réputé. Il cherche à comprendre et tente de rétablir la vérité. Pourtant, des doutes l'envahissent. Serait-il fou ?
    J'ai dévoré ce roman en un après-midi, mais j'ai été un peu déçue par la fin. En tout cas, cela se lit très facilement et on est très vite dans l'histoire, on a envie de savoir... Lisez-le si vous aussi vous voulez savoir ! SUSPENSE...

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    Couverture du livre « Attirances » de Didier Van Cauwelaert aux éditions Albin Michel

    Michel Giraud sur Attirances de Didier Van Cauwelaert

    Première partie : écrivain célèbre, Alexis Kern est harcelé par Mathilde Renois, un étudiante qui a fait de lui l'objet de sa thèse.
    Deuxième partie : Delphine Kern, juge d'instruction, cherche à comprendre le cas de Jef Hélias, qui s'accuse de meurtres en série sans qu'on ait retrouvé le...
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    Première partie : écrivain célèbre, Alexis Kern est harcelé par Mathilde Renois, un étudiante qui a fait de lui l'objet de sa thèse.
    Deuxième partie : Delphine Kern, juge d'instruction, cherche à comprendre le cas de Jef Hélias, qui s'accuse de meurtres en série sans qu'on ait retrouvé le moindre cadavre, et qui a transformé les murs de sa prison en gigantesques fresques.
    Troisième partie : lassée de sa vie de famille, Étienne emmène la sienne en vacances dans un lieu insolite : un futur terrain militaire au bord de la mer. Mais un terrain qui abrite une vieille demeure qui paraît hantée.

    Dit comme cela, le livre ressemble à un recueil de trois nouvelles. Il en a la forme et l'odeur. Et même le goût, quand on croque la première bouchée.
    Il faut déguster les dernières miettes pour comprendre qu'il s'agit bien d'un roman en trois parties. Ou de trois nouvelles qui s'imbriquent pour former un roman. Peu importe, l'essentiel étant qu'on y trouve du plaisir, non ?
    Des personnages aux caractères bien marqués, des situations extraordinaires (au sens propre du qualificatif), le tout épicé d'une pincée d'irréel. Ajoutons un liant qui ne se dévoile que dans les dernières pages. Voilà les ingrédients majeurs utilisés par l'auteur pour retenir l'attention.
    L'écriture est celle, fluide, de Didier Van Cauwelaert. C'est net et sans bavure, et se lit avec plaisir.
    Sans doute pas le meilleur bouquin de l'auteur, mais il y a dans celui-ci un côté épicé qui titille l'appétit et retient l'attention.

    Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2024/04/30/attirances-didier-van-cauwelaert-le-livre-de-poche-etrange-vous-avez-dit-etrange/

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