Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Ce quatorzième volume couvre plus de deux ans, dont sept mois de silence pour cause de voyage en Russie. Responsable depuis avril 1855 de la « Revue dramatique » du Moniteur, Gautier est privé, jusqu'en 1864, de son activité jusque-là intense de recenseur musical, le journal ayant un chroniqueur attitré. Aussi consacre-t-il davantage de temps à l'activité patrimoniale de la Comédie-Française et de l'Odéon, avec des feuilletons sur Dom Juan, Tartuffe ou Le Bourgeois gentilhomme, ou la reprise de drames récents comme Chatterton. Entre ce haut de l'échelle (illustré aussi par la belle nécrologie de Rachel) et le théâtre populaire, Gautier maintient avec aisance l'écart, lui qui va toujours avec autant de plaisir au cirque, mais aussi dans des salles en vogue tel le Palais-Royal où règne Labiche.
Comme pour les treize volumes publiés depuis 2007, le texte a été établi avec soin et annoté en vue de souligner la richesse de ce regard exceptionnel sur l'histoire du théâtre vivant au XIXe siècle.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !