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Bruges, 1441. Arborant un air mystérieux, l'index posé sur les lèvres, Jan Van Eyck avait chuchoté : Petit, il faut savoir se taire, surtout si l'on sait. Qui pouvait se douter alors que, derrière la recommandation du maître flamand, l'un des plus grands peintres de l'histoire de l'art, se cachait le Grand Secret ? À travers les brumes de Flandre et la luminosité éclatante de la Toscane, un enfant de treize ans va se retrouver confronté à une effroyable conspiration. Un monde occulte, empli de ténèbres qu'il lui faudra affronter avec l'innocence pour toute arme. Pourquoi veut-on sa mort ? Que sait-il qu'il n'aurait jamais dû connaître ? Pour quelle raison des peintres de génie, des apprentis, des orfèvres, des penseurs, des architectes sont-ils la cible de meurtriers invisibles ? Quels sont les liens mystérieux qui les relient entre eux et les poussent insensiblement au bord de l'abîme ? Autant de questions auxquelles l'enfant de Bruges devra s'efforcer de répondre s'il ne veut pas disparaître à son tour dans la nuit.
Bruges, 1441. Des meurtres ont lieu en Europe. les victimes : des peintres qui ont été les apprentis de van Eyck. Parallèlement, plusieurs pays d'Europe sont prêts à tout pour découvrir une carte maritime qui leur permettrait d'accéder à certaines côtes et développer le commerce des épices notamment. Encore une fois, van Eyck est au milieu de l'histoire. Cela nous est dévoilé progressivement et on doit attendre avant de comprendre comment un peintre a eu son rôle à jouer dans cette histoire. A la mort de van Eyck, son fils adoptif, Jan, est lui aussi visé, et sans qu'il ne comprenne pourquoi. Son espoir est de partir sur les mers, direction Venise. Réalisera-t-il son rêve ? Qui trouvera-t-il sur sa route pour le protéger ? Il est finalement le personnage principal de ce roman et c'est un enfant attachant.
Le seul hic, c'est qu'il faut s'accrocher dans les premières pages. On a l'impression que l'acteur a voulu étaler sa science de l'époque en employant des termes précis : les noms des bateaux, les techniques picturales. Tout compte fait, l'histoire est tellement énigmatique qu'on tourne les pages et on la dévore.
Bruges, 1441. Des meurtres ont lieu en Europe. les victimes : des peintres qui ont été les apprentis de van Eyck. Parallèlement, plusieurs pays d'Europe sont prêts à tout pour découvrir une carte maritime qui leur permettrait d'accéder à certaines côtes et développer le commerce des épices notamment. Encore une fois, van Eyck est au milieu de l'histoire. Cela nous est dévoilé progressivement et on doit attendre avant de comprendre comment un peintre a eu son rôle à jouer dans cette histoire. A la mort de van Eyck, son fils adoptif, Jan, est lui aussi visé, et sans qu'il ne comprenne pourquoi. Son espoir est de partir sur les mers, direction Venise. Réalisera-t-il son rêve ? Qui trouvera-t-il sur sa route pour le protéger ? Il est finalement le personnage principal de ce roman et c'est un enfant attachant.
Le seul hic, c'est qu'il faut s'accrocher dans les premières pages. On a l'impression que l'acteur a voulu étaler sa science de l'époque en employant des termes précis : les noms des bateaux, les techniques picturales. Tout compte fait, l'histoire est tellement énigmatique qu'on tourne les pages et on la dévore.
J ai bien aimer l histoire de cet enfant est de se peintre est son hitoire de sa vie passionnant mais malgré des passages un peu long mais la fin un peu déçue me laisse en suspens
Le premier intérêt de « L’Enfant de Bruges » de Gilbert Sinoué, c’est le contexte historique dans lequel le roman se situe : une époque charnière ou le Moyen Age se termine et la Renaissance débute à peine : l’Art pictural est en plein renouveau, on commence à explorer les mers et à se demander ce qu’il peut bien y avoir de l’autre côté de l’Océan. Mais le contexte ne suffit pas à faire d’un polar un bon polar et j’avoue avoir eu du mal à aller au bout de cette étrange histoire de peintres qui meurent, assassinés par une mystérieuse conspiration aux objectifs un peu fumeux et aux contours mal définis. L’intrigue est confuse, certaines pistes conduisent à des impasses, l’action n’avance pas très vite, les personnages sont moyennement attachants et au final, je ne suis pas certaine d’avoir tout compris de l’intrigue ! On finit par deviner, à quelques chapitres de la fin, où Gilbert Sinoué veut en venir, quel est le message de son livre. C’est un dénouement qui n’est pas sans intérêt mais qui est exploité sans beaucoup de finesse. L’auteur s’est visiblement beaucoup documenté sur l’art, les techniques picturales, l’exploration portugaise des côtes africaines et il tient à le montrer en se lançant des explications longues et techniques qui ne sont pas super passionnantes. En gros, ce roman médiévo-renaissance est une vraie déception.
Je m'attendais à une plongée dans le monde de l'art et là grosse déception histoire qui traîne en longueur et pour finalement être bien loin du monde de l'art..
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