"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il faut redécouvrir la force et la beauté de l'une des premières chansons de geste russes. Le prince Igor de Tchernigov est aussi célèbre que Roland à Roncevaux ou l'immortel Achille de l'Iliade. À la fin du vigoureux XIIe siècle, face aux païens, il symbolise la fierté et le désir passionné de l'unité de la Terre Russe. Dans une nature frémissante, ses combats épiques en font un héros fondateur. Au déclin du XIXe siècle, Borodine lui consacre un opéra tandis que Vasnetsov fait de lui un thème de ses toiles. La traduction inédite (1973) d'Hélène Emeryk nous restitue les prouesses et l'âme du jeune peuple russe.
Traduction d'Hélène Witoldovna Emeryk de Botzaris (1812-2003), spécialiste de la littérature russe et fervente orthodoxe.
Préface et note sur la traductrice par Jean-Paul Besse, agrégé d'histoire.
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