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Die Winderbare Freundin »Das geht gut«, dachte der junge Herr Andreas von Ferschengelder, als der Barkenführer ihm am 7. September 1778 seinen Koffer auf die Steintreppe gestellt hatte und wieder abstieß, »das wird gut, laßt mich der stehen, mir nichts dir nichts, einen Wagen gibts nicht in Venedig, das weiß ich, ein Träger, wie käme da einer her, es ist ein oder Winkel, wo sich die Füchse gute Nacht sagen. Als ließe man einen um sechs Uhr früh auf der Rossauerlände oder unter den Weißgärbern aus der Fahrpost aussteigen, der sich in Wien nicht auskennt. Ich kann die Sprache, was ist das weiter, deswegen machen sie doch aus mir was sie wollen ! Wie redt man denn wildfremde Leute an, die in ihren Häusern schafen - klopf ich an, und sag : Herr Nachbar ? «Er wußte, er würde es nichr tun, - indem kamen Schritte näher, scharf und deutlich in der Morgenstille auf dem steinernen Erdboden ; es dauerte lange, bis sie näher kamen, da trat aus einem Gäßchen ein Maskierter hervor, wickelte sich fester in seinen Mantel, nahm ihn mit beiden Händen zusammen und wollte quer über den Platz gehen. Andreas tat einen Schritt vor und grüßte, die Maske lüftete den Hut und zugleich die Halblarve, die innen am Hut befestigt war. [...] L'amie merveilleuse «Voilà qui est charmant..., se dit le jeune monsieur Andréas de Ferschengelder quand le gondolier - c'était le 17 septembre 1778 - déposa sa malle sur l'escalier de pierre, puis s'éloigna d'une poussée. De mieux en mieux... il me plante là sans crier gare, et pas une voiture à Venise, je le sais, un porteur ? Que viendrait-il faire dans ce coin perdu, dans ce bout du monde ? Un peu comme si la diligence déposait à six heures du matin, quai de Rossau ou dans le quartier des mégissiers, quelqu'un qui ne connaîtrait pas Vienne ! Je parle leur langue. Et puis après ? Ils font quand même de moi ce qu'ils veulent ! Et comment s'adresser à des gens parfaitement inconnus qui dorment dans leurs maisons ? Frapper et dire : Cher voisin... ? II savait qu'il n'oserait pas. Sur ces entrefaites, des pas résonnèrent sur le dallage d'une rue, nets et martelés dans le silence matinal. Ils furent longs à se rapprocher, puis d'une venelle déboucha un masque. L'homme s'enveloppa plus étroitement de son manteau, le serrant des deux mains, et voulut traverser la place en biais. Andréas s'avança et salua. Le masque souleva son chapeau et son loup, qui était fixé à la coiffe.» [...]
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