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Cesare Pavese s’est donnéaz la mort à Turin, dans une chambre de l’Hotel Roma, le 27 aout 1950. Pierre Adrian part sur les traces de cet écrivain hanté par le suicide, à travers ses textes, ses amis et ses envies.
Une déambulation littéraire qui nous en apprend beaucoup sur Pavese, son rapport aux femmes, au métier de vivre.
A travers ce texte, c’est l’Italie d’après-guerre que l’on découvre, où la littérature tient une place prépondérante.
Ce roman a un charme fou, un style joyeux et un côté dramatique qui, loin d’effrayer, donne un certain volume au contenu.
Je me suis laissée embarquer aux côtés de Pavese dans ses derniers jours et suis maintenant curieuse de le lire.
Un roman de littérature pour vous faire connaitre un homme complexe qui l’a représentée. Un excellent roman de cette rentrée.
Le narrateur, un citadin trentenaire, retourne, après 10 ans de vagabondage dans le vaste monde, passer ses vacances d'été en Bretagne, dans la maison familiale.
Cette maison où se sont écoulés tant d'étés au milieu des cousins, oncles, tantes, proches, et auprès des grands-parents.
Il ne reste plus que la grand-mère aujourd'hui, entourée, spectatrice, immuable.
Cet été de retrouvailles, avec la grande maison, le décor, avec les objets, les habitudes, les paysages, les traditions est une expérience intime du temps qui passe et de ce qui en ressort de précieux.
Le jeune homme est nostalgique et mélancolique, comme le roman. Les descriptions des lieux, des émotions, des réflexions sont précises, lumineuses, envoûtantes...
Les âges de la vie, les souvenirs, les liens qui unissent les membres d'une même famille...et cette ombre qui plane...
J'ai beaucoup beaucoup aimé cette lecture...
Cesare Pavese était un personnage étrange, écrivain italien qui a souvent hésité dans ses choix de vie et ses choix politiques, avec probablement une réelle difficulté à vivre au quotidien de son désir, le tout finissant mal puisqu'il se suicide à 41 ans dans une chambre de l'hôtel Roma. Lui rendre hommage, malgré les zones d'ombre, me semblait un sujet intéressant et j'ai ouvert le roman de Pierre Adrian avec un certain enthousiasme. Mais, grosse déception, une écriture agaçante et un fil brouillon, le sentiment que quelque chose dans le récit ne fonctionne pas. Peut-être un personnage trop trouble pour pouvoir vraiment s'y attacher.
Un retour dans la maison familiale de vacances en Bretagne.
Après plusieurs années d'absence, l'auteur y retrouve la région, les rituels de vacances et ses souvenirs d'enfance lui reviennent.
Un roman tout en douceur qui nous incite à profiter de chaque instant.
La fin est inattendue.
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