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Quelle vie! Les JO, la guerre, etc., ce parcours porté par le style enlevé, précis, drôle de Greveillac... Superbe moment de lecture. Top !
J'ai beaucoup aimé l'histoire de René Bondoux !
L'auteur nous raconte avec brillot la vie de cet homme, fleurettiste, avocat qui a traversé l'Histoire !
En effet, nous partons avec les sportifs français aux JO de Los Angeles en 1932. Il nous fait vivre la victoire de la France, la contribution de René à ce titre, nous vivons la montée du nazisme en Europe, les JO de Berlin.....René Bondoux , c'est aussi un avocat, un prisonnier de guerre, un combattant au côté du général De Lattre..... Un vrai destin !
C'est aussi un homme qui tombe amoureux de Virginia Mitchel, une américaine, rencontrée lors des JO, alors que la Marseillaise retentit, il ne pense qu'à elle.....
A côté de René, un personnage central : l'Histoire, la grande histoire, la montée du nazisme, le Front Populaire, la guerre.....Après son mariage, René est mobilisé.....
L'histoire de René Bondoux est passionnante et magnifiquement racontée par Paul Greveillac !
Une très belle découverte !
Un roman qui débute pendant les atrocités de la révolution culturelle et qui se poursuit jusqu'en 1989 en Chine.
On suit le destin de Kewei.
C'est sombre comme l'époque ; il est question de pauvreté, de violence, de misère, de famine, de froid, de délation, de dictature, de culte de la personnalité, de lavage de cerveau et de grande solitude aussi.
Il est très difficile de s'attacher aux personnages tant tout cela est réaliste.
L'écriture est ciselée, élégante et sans jugement dans sa description de la brutalité des faits.
Il y a néanmoins quelques longueurs surtout sur la fin.
Cela reste un roman puissant.
« L’étau » est un superbe roman qui happe le lecteur et l’entraîne avec lui. Il s’agit d’un roman singulier car au-delà du parcours de ses différents dirigeants successifs, celle qui est au cœur du roman, telle une entité vivante, c’est l’usine Fernak elle-même. Le lecteur la voit au fil du livre évoluer, se moderniser, changer d’objet et de destination, s’agrandir pour mieux disparaitre finalement. Une usine autour de laquelle va se resserrer petit à petit un double étau. Celui de l’occupation nazie d’une part, qui va voir ses dirigeants pris entre des impératifs contradictoires : responsabilité, devoir, convictions mais aussi de manière plus terre à terre une question de survie. L’étau du communisme ensuite, un totalitarisme ayant chassé l’autre en Tchécoslovaquie, qui a particulièrement marqué la famille Zdrail. En effet, aux difficultés de devoir composer avec le régime hitlérien s’est ajouté une totale réécriture manichéenne de la période de l’occupation, sous le régime communiste. Un manichéisme dont Paul Greveillac se garde bien dans ce roman en proposant des personnages bien différents dans leurs attitudes et dans leurs rôles mais qui tous tentent tant que bien que mal, à leur niveau, de faire au mieux par rapport à leurs convictions dans un environnement pour le moins complexe et périlleux. Un roman très profond !
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