Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Après avoir détruit les décors du remake de Gunga Din auquel il participait, l'acteur indien Hrundi V. Bakshi est rayé de la liste des acteurs pouvant jouer à Hollywood. Une erreur de la secrétaire du puissant dirigeant du Studio, Fred Clutterbuck, inverse la situation. Au lieu d'être blacklisté, le nom de Bakshi est ajouté à la liste des invités pour une soirée très chic chez Clutterbuck. Son arrivée dans la maison très moderne du puissant patron hollywoodien engage une mécanique de lente et progressive avancée vers l'explosion symbolique de la soirée et de la maison. La maladresse et la naïveté de Bakshi provoquent d'abord de petits désagréments avant d'engendrer de grandes catastrophes qui effacent littéralement la maison et les invités.Salué comme une grande réussite, le film tient d'abord par son acteur principal Peter Sellers qui campe l'indien Hrundi V. Bakshi. Son sens de l'improvisation accompagne la mise en scène de Blake Edwards qui utilise le décor comme un véritable personnage du film. Mais ce moteur du chef d'oeuvre ne doit pas occulter les autres personnages et les micro-récits dessinés par Edwards : du producteur libidineux Divot aux apprentis acteurs comme Michèle Monet ou Steve Franken, qui interprète Levinson, le serviteur alcoolique. Ce film de 1968 représente une sorte de tournant pour l'histoire culturelle et cinématographique mais aussi pour les deux protagonistes principaux, Peter Sellers et Blake Edwards.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle