"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Cette vision, mon fils, je la chéris comme je chéris le coeur de ta mère. Elle reste gravée dans ma mémoire, immuable, inébranlable. C'était lors d'une belle journée d'été, ici, sur cette même route. Une douce brise effleurait les blés, le pétrichor embaumait mes narines, et le soleil d'été réchauffait mes pas rapides...Et voilà cette vision qui gonfla mes veines de joie comme la bière abreuve les nains ! Alors que je levai les yeux, je remarquai un nuage étrange, mais je ne saurais te dire en quoi. Et puis, ce dernier est devenu flou, vague, onduleux. Je me suis frotté les mirettes ! Crénom d'un chien ! Je pensai devenir fou ! Mais rien n'y changea, la vision continua, et soudain ! L'apothéose ! Le nuage se matérialisa en un îlot flottant ! Un morceau de terre gigantesque ! » Les bienveillants ne sont que des chimères aux yeux des hommes, des nouveaux dieux ayant remplacé l'unique dieu : Iel. Comme nombre de gens, Syldoran rêve de rencontrer l'un de ces illustres êtres. Justement ! Une rumeur raconte que l'un d'entre eux arpente les couloirs du château d'Érosia. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est que cette rencontre bouleversera à jamais sa vie. Doté d'une aura salvatrice marquant ainsi son harmonie avec le monde de la magie, l'intrépide Syldoran se retrouvera catapulté dans les méandres politiques et surtout, au coeur d'un conflit encore plus grand : L'opposition des bienveillants aux veilleurs...
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