Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Sur les traces du crime

Couverture du livre « Sur les traces du crime » de Leon Poliakov aux éditions Berg International
  • Nombre de pages : 230
  • Collection : (-)
  • Genre : Sociologie
  • Thème : Sociologie
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Né en Russie en 1910, Léon Poliakov émigre en France à l'âge de dix ans.
Après avoir combattu pendant la " drôle de guerre ", il est fait prisonnier et s'évade. Il entre alors dans la Résistance puis participe à la fondation du Centre de documentation juive contemporaine, dont le but est de... Voir plus

Né en Russie en 1910, Léon Poliakov émigre en France à l'âge de dix ans.
Après avoir combattu pendant la " drôle de guerre ", il est fait prisonnier et s'évade. Il entre alors dans la Résistance puis participe à la fondation du Centre de documentation juive contemporaine, dont le but est de rassembler les preuves de la persécution nazie. A la Libération, il est sollicité par le gouvernement d'Edgar Faure pour étayer la plaidoirie française au procès de Nuremberg. Léon Poliakov s'engage dans le métier d'historien à partir d'une question singulière : " Pourquoi a-t-on voulu me tuer ? ".
Dès lors, il consacrera sa vie et son oeuvre à l'étude du racisme et de l'antisémitisme, cet envers longtemps impensé de l'histoire européenne. Ses recherches le conduisent à s'interroger sur les origines de la haine qui a rendu possible le génocide. Son premier livre destiné au grand public, Bréviaire de la haine. Le IIIe Reich et les Juifs, publié en 1951 et préfacé par François Mauriac, constitue un travail novateur.
C'est la première étude d'ensemble sur la " Solution finale " en France. Sur les traces du crime réunit les articles les plus significatifs de cet historien pionnier dont la réflexion pluridisciplinaire porte aussi bien sur l'histoire des systèmes politiques que sur celle des religions, des mentalités et des idéologies.

Donner votre avis