"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un thriller psychologique palpitant Auféminin.com Mère. Héroïne. Menteuse. Tueuse ?
Le métier de Laura consiste à soigner les troubles de la parole. Dans sa profession, elle est reconnue et admirée. Elle a pourtant plus de difficultés quand il s'agit de faire parler sa fille de trente ans, qui semble collectionner les échecs en tout genre.
Il aura suffi qu'elle l'invite au restaurant pour avoir une vraie discussion mère-fille, Il aura suffi qu'un gamin armé entre en scène, Il aura suffi d'un unique coup de couteau, Pour que tout bascule.
Andy vient de voir sa mère tuer un homme. Sans une once d'hésitation. Efficace. Calme.
Andy vient de comprendre que sa mère n'est peut-être pas celle qu'elle prétend.
Et, maintenant que les masques tombent, la voix de ces deux femmes pourrait bien ne plus jamais se faire entendre.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Ève Vila À propos de l'auteur :
N°1 sur les listes internationales de best-sellers, Karin Slaughter est l'un des auteurs les plus populaires et les plus plébiscités dans le monde. Publiée en trente-trois langues et vendue à plus de trente millions d'exemplaires, elle est l'auteur de nombreux romans, parmi lesquels figurent les séries « Grant County » et « Will Trent ».
Karin Slaughter autrice de la saga Will Trent, nous plonge dans ce thriller psychologique, un récit qui alterne plusieurs temporalités, elle dévoile une face sombre et méconnue des États Unis d'Amérique.
Laura orthophoniste a du mal à faire parler sa fille Andy de 30 ans pour avoir une vraie discussion mère-fille. Mais durant un braquage Laura tue un homme sans hésitation, Andy pense que sa mère n'est pas celle qu'elle à toujours imaginé, les masques tombent. Qui est véritablement Laura ?
Un thriller captivant, relation mère/fille, Secrets, Actions, Tensions, Suspense, l'autrice joue avec nos nerfs en multipliant les rebondissements. On plonge dans une folle course poursuite identitaire avec de l'émotions. Dangers, Violences, Joutes verbales, Manipulations et Haine.
Un thriller qui nous fait frissonné. Par contre je n'ai pas vu la mini série avec Bella Heathcote, Toni Collette, Jessica Barden , Omari Hardwick
"Elle contourna le véhicule et tendit la main pour ouvrir la boîte à gants. Andy recula brusquement d'un pas chancelant. Un pistolet en était tombé. Un revolver, identique à celui que John Helsinger avait braqué sur la poitrine de Laura. Sur le côté, des marques d'éraflures, là où on avait effacé le numéro de série. Andy fixa l'arme usée gisant sur le plancher comme si elle attendait qu'elle se mette à bouger."
"La tension quitta lentement ses épaules. Ses mâchoires se relâchèrent. De nouveau cette douleur à la tête, mais plus faible cette fois. Les pensées d'Andy se mirent à vagabonder. Elle écouta la pluie, observa les gouttes tomber devant son visage. Qu'est-ce qu'elle ressentirait en ouvrant le carton des fournitures à dessin? En sortant un crayon et un carnet à croquis?"
Andréa déjeune avec Laura, sa mère, quand une fusillade éclate. Avec un sang froid déconcertant, Laura réussit à désarmer et tuer le tireur. L'instant est filmée, et la vidéo passe sur toutes les chaines de télévision.
Quelques jours plus tard, la mère est agressée à son domicile. Andréa intervient et tue l'intrus. Laura n'a alors qu'une idée en tête : éloigner sa fille....
Ce thriller repose sur une intrigue où le présent (2018) s'entremêle avec le passé (1996), un écart qui correspond peu ou prou à l'âge d'Andréa.
On comprend rapidement que Laura n'est pas seulement l'orthophoniste qu'elle est devenue. Andréa, une jeune femme qui cherche encore sa voie, va se révéler en menant l'enquête, sans toujours respecter les consignes de sa mère. Des initiatives qui peuvent tous les mettre en danger...
Une Amérique contemporaine, dont les habitants ont un comportement assez convenu, bourgeois et parfois violent, est ici confrontée au passé plus radical, souvent méconnu, d'une frange de sa jeunesse. On hésite souvent entre l'horreur de la violence de cette Amérique-là et l'incrédulité... Mais c'est cette confrontation permanente dans le récit qui le rend crédible.
C'est plutôt bien écrit (merci à la traductrice) et la lecture est fluide. Contrairement à l'habitude pour ce genre de roman, les chapitres sont longs, voire très longs. Mais ils fourmillent de découvertes et d'imprévus, avec une alternance constante entre présent et passé. La narration est donc très dynamique.
Un thriller original sur une face sombre et méconnue des États Unis d'Amérique.
Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2023/04/29/son-vrai-visage-karin-slaughter-harper-collins-sombre-amerique/
C'est mon quatrième livre de Karine Slaugter que je lis et (à une exception près) à chaque fois, je n'accroche pas avec les personnages que je trouve assez fade et ce fut encore le cas dans celui ci. L'avantage, c'est qu'il est un peu plus classique (moins gore ou moins tourné vers le voyeurisme) on suit Laura d'un côté qui va pour sauver sa fille tuer un homme et de sa fille Andy qui se demande qui est vraiment sa mère. Laura qui nous fera remonter dans son passé pour nous expliquer qui elle l'est vraiment et Andy qui rencontra les personnes du passé de sa mere, c'est ennuyeux, tiré par les cheveux, mais cela finit bien bref Pretty Girls restera mon préfèré
Livre que j’ai découvert il y a peu à la médiathèque. « Mère. Héroïne. Menteuse. Tueuse ? » m’a interpellé et m’a donné envie de lire le résumé (qui m’a fortement donné envie de lire ce livre ensuite !) :
« Mère. Héroïne. Menteuse. Tueuse ?
Le métier de Laura consiste à soigner les troubles de la parole. Dans sa profession, elle est reconnue et admirée. Elle a pourtant plus de difficultés quand il s'agit de faire parler sa fille de trente ans, qui semble collectionner les échecs en tout genre.
Il aura suffi qu'elle l'invite au restaurant pour avoir une vraie discussion mère-fille, Il aura suffi qu'un gamin armé entre en scène, Il aura suffi d'un unique coup de couteau, Pour que tout bascule.
Andy vient de voir sa mère tuer un homme. Sans une once d'hésitation. Efficace. Calme.
Andy vient de comprendre que sa mère n'est peut-être pas celle qu'elle prétend.
Et, maintenant que les masques tombent, la voix de ces deux femmes pourrait bien ne plus jamais se faire entendre. »
Ce roman n’est pas simple à décrypter, mêlant flashbacks, drames familiaux, récit à plusieurs voix, nombreux personnages … et pourtant une fois qu’on a réussi à totalement se plonger dedans, à comprendre les personnages et les différentes imbrications entre eux, c’est un plaisir de le lire.
Il faut quand même s’accrocher … et il m’a fallu environ 150 pages pour décider de lire ce livre jusqu’au bout, ce que je n’ai pas regretté. D’où ma note un peu mitigée, je préfère les romans qui arrivent à nous plonger dans leur univers en seulement quelques dizaines de pages.
L’histoire est bien ficelée et nous amène à nous questionner sur notre relation avec notre mère : qui est cette femme que nous connaissons depuis notre naissance et qui pourtant garde une vraie part de mystère, chapeau à l’auteur !
Merci à #netgalleyfrance et aux #editionsharpercollins de m'avoir permise de découvrir le livre,son vrai visage de Karen Slaughter.
Jusqu'où seriez-vous prêt pour protéger votre enfant ?
Andy fête son anniversaire au restaurant avec sa mère, Laura, une orthophoniste renommée. Quand soudain tout bascule, un jeune homme pénètre dans le restaurant et après avoir tué sa petite amie ainsi que la mère de celle-ci, il menace Laura. Celle-ci ne se pose pas de question et le tue avec sang froid sous les yeux de sa fille.
"Qui est vraiment Laura, une mère, une tueuse, une héroïne..."
Après cet événement tragique, Andy doit quitter le domicile familial sur demande de sa mère, qui désire se retrouver seule. Mais un nouveau drame va avoir lieu et Andy doit alors quitter la ville et disparaître de la circulation. Sa mère lui remet alors de l'argent liquide et des papiers. La jeune femme n'a qu'une seule idée en tête : recoller les morceaux du puzzle et découvrir la véritable identité de sa mère et que cache-t-elle ?
C'est un bon thriller psychologique qu'il ne faut surtout pas lâcher en cours de route ! Certes, il y a quelques longueurs : les chapitres sont longs mais ça tient la route.
L'auteur arrive à nous tenir en haleine jusqu'au bout, en semant le doute dans nos têtes ! J'ai trouvé les personnages attachants et j'ai même éprouvé de la compassion pour certains. Si vous êtes amateurs de thrillers psychologiques, ce roman est fait pour vou
L’auteure Karin Slaughter est considérée par beaucoup comme l’une des spécialistes américaines du thriller psychologique. Avant d’ouvrir ce blog, je m’étais déjà plongée dans ses livres (notamment, « Mauvaise passe ») et j’avais apprécié mes lectures, mais sans toutefois que ça ne soit le coup de foudre pour autant.
Ayant l’occasion grâce à bepolar.fr et aux éditions HarperCollins, que je remercie vivement tous les deux, de découvrir son nouvel opus, je me suis dit que c’était l’occasion unique de pouvoir désormais vous en parler.
Andrea a 31 ans et vivote dans sa vie professionnelle. Après un retour aux sources suite au cancer de sa mère, elle s’est installée dans un appartement aménagé au-dessus du garage de sa mère, Laura. Cette dernière est orthophoniste et vit une vie que l’on pourrait qualifier d’assez banale dans une petite ville de Georgie, Belle Isle. Alors que le dialogue semble difficile entre les deux femmes, un déjeuner dans un centre commercial va bouleverser leur existence.
Pour ma part, cela a été une bonne lecture mais avec des petits bémols malgré tout, dont je tenais à vous faire part en toute honnêteté, sans vous dévoiler tout de l’histoire pour autant.
Tout d’abord et c’est peut-être un défaut de ma part, dans la majorité des thrillers et polars que je lis, les chapitres sont généralement assez courts afin de faire grandir l’envie du lecteur de tourner les pages et de faire progressivement monter crescendo le suspens que l’auteur a voulu distiller dans son récit. ici, les chapitres sont vraiment assez longs et ne présentent pas de réel cliffhanger qui pourrait tenter le lecteur de poursuivre plus intensément sa lecture.
Ensuite, même si le passé des personnages est entouré de nombreux mystères, j’ai eu tout au long de l’histoire comme un arrière-goût de déjà vu. Je ne sais pas expliquer d’où me vient ce sentiment mais il est resté assez tenace. En même temps, tous les livres que je lis ne présentent pas forcément des originalités folles et étant dans une période de romans noirs, il est forcé que certains éléments se retrouvent chez plusieurs auteurs. Pour ma part, ce n’est pas forcément rébarbatif car je sais m’en détacher mais je peux comprendre que cela puisse gêner certaines personnes.
Enfin, pour terminer, je n’ai pas su m’attacher à la personnalité d’Andrea que j’ai trouvé, à maintes reprises, ennuyeuse et assez fade. Effectivement, son personnage évolue assez bien dans le récit mais je n’ai pas compté le nombre de fois où j’avais seulement envie de la secouer une bonne fois !
Malgré tout, cela reste une bonne histoire, bien ficelée où les secrets familiaux peuvent complètement chambouler un équilibre qui était en fait assez précaire. Alternant passé et présent, on comprend mieux au fil des pages, le vécu de Laura et tout ce qui en découle. La relation mère-fille occupe bien entendu une place centrale, en plus de la vengeance et des cicatrices du passé.
N’hésitez pas à lire ce thriller psychologique et me dire ce que vous en pensez. Étant dans une période où je cumule les lectures noires, je compte poursuivre ma route dans la même veine.
Chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2019/04/son-vrai-visage-de-karin-slaughter.html
Il y a véritablement des auteurs que l’on attend chaque année avec impatience. Pour moi, Karin Slaughter en fait partie. Donc autant dire que dès que j’ai eu Son Vrai Visage entre les mains, j’étais comme une gosse le matin de Noël !
Laura est une mère tout ce qu’il y a de plus normale. Et cette vie en apparence banale aurait pu suivre son cours sans anicroche, si, lors d’un déjeuner au restaurant, l’impensable ne s’était pas produit.
Lorsqu’une fusillade éclate, Laura s’interpose pour protéger Andy, et tue l’assaillant pour lui sauver la vie.
Si la réaction semble naturelle et évidente, la manière, elle, pose problème. Laura n’a, en effet, eu aucune difficulté à désarmer le tueur et à retourner l’arme contre lui.
Sans l’ombre d’une hésitation, la gentille mère de famille s’est transformée en quelques secondes en machine à tuer.
Et les heures qui suivent ne font que renforcer la certitude que Laura a bien des choses à cacher, surtout lorsqu’elle supplie sa fille de s’enfuir le plus loin possible et sans poser de questions.
K. Slaughter nous entraîne alors avec Andrea dans un road trip éprouvant, aux multiples écueils tous plus dangereux les uns que les autres, mais nécessaire pour comprendre les nombreuses facettes de sa mère.
Mais grâce à son imagination débordante, l’auteure nous fait également suivre, en parallèle, une tragique et sanglante histoire qui s’est déroulée 32 ans plus tôt.
Il en résulte une lecture totalement addictive. Cette double temporalité (parfaitement maîtrisée) nous place en spectateurs de deux courses contre la montre, aussi prenante et dangereuse l’une que l’autre.
Mensonges, meurtres, trahisons, secrets, vengeances, et manipulations traversent les décennies, pour notre plus grand plaisir de lecteur sadique.
Une fois de plus Karin Slaughter nous prouve qu’elle connaît son affaire quand il s’agit de nous raconter des histoires fouillées aux multiples rebondissements, et servies par des personnages complexes et très intéressants.
Ici ce n’est pas tant de comprendre pourquoi les choses sont arrivées qui compte, mais de savoir comment elles vont se finir.
Pour le découvrir il vous faudra lire ce nouveau titre de la Reine du thriller !
Je remercie les éditions Harper Collins de m’avoir fait découvrir Karin Slaughter.
Que sait Andy à propos du passé de sa mère ? Mère. Héroïne. Menteuse. Ou bien tueuse ? » Son vrai visage « est le nouveau thriller décapant de l’auteure Karin Slaughter, paru en ce printemps 2019 aux éditions Harper Collins, dans la collection Noir.
Belle Isle, en Georgie aux États-Unis, 2018. Laura, la cinquantaine, divorcée est orthophoniste. Sa fille Andrea est revenue s’installer avec elle lorsqu’elle a appris que sa mère était atteinte d’un cancer du sein il y a trois ans. Si Andy travaille à la Division du Central de Police, elle est plutôt léthargique et totalement dénuée d’ambition.
p. 26 : » Quand vos parents étaient des personnes aussi motivées que douées, la fainéantise était une sorte de rébellion, non ? Suivre avec obstination et constance la voie de la facilité, alors que le chemin ardu était tellement… ardu ? «
Aujourd’hui Laura a invité sa fille Andy à déjeuner pour fêter ses trente et un ans. L’occasion de discuter avec elle de ses éventuelles projets d’avenir. Mais tout s’écroule lorsqu’une balle siffle et atteint une autre jeune femme. Un tireur vient de s’introduire dans le restaurant. Laura plonge sur sa fille pour la mettre à l’abris des tirs, mais elle est atteinte d’une balle à la jambe. Le tireur pointe son arme vers Andy. Laura a alors une réaction qui va laisser tout le monde perplexe, en subtilisant l’arme et en la retournant contre le meurtrier, dans un geste maîtrisé et serein. Si son acte est courageux et salvateur, les caméras du restaurant ont filmé la scène. Laura apparaît alors, en quelques heures seulement, à la une de toutes les télévisions du pays.
p. 63 : » […] si Laura était réellement aussi calme et méthodique, pourquoi n’avait-elle pas plutôt arraché l’arme des mains de Helsinger ? «
En état de choc, Andy est incapable de répondre à l’interrogatoire des forces de police, ni de livrer sa version des faits. Malgré l’ampleur de ses blessures, Laura décide contre l’avis médical de sortir de l’hôpital. Sa réaction envers sa fille Andy est d’autant plus étrange, qu’au lieu de la soutenir, elle la met à la porte de chez elle.
p. 80 : » Il faut que tu partes, Andrea, ajouta-t-elle en levant les yeux vers sa fille. «
Comment sa propre mère peut-elle faire preuve d’autant de sang froid ? Cette tuerie n’aurait-elle pas, au contraire, dû rapprocher les deux femmes ?
p. 103 : » La fusillade. Cette tragédie portait un nom à présent et marquerait à tout jamais une rupture définitive avec sa vie d’avant. «
L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais un soir où Andy retourne chercher quelques affaires chez sa mère, elle assiste à une scène effroyable. Un homme interroge Laura dans le but d’obtenir des informations sur son passé. Voyant Laura impassible, l’homme menace alors de s’en prendre à sa fille Andy. Celle-ci, cachée dans la cuisine, assiste impuissante à une scène de torture.
p. 18 : » Quelles informations une orthophoniste divorcée de cinquante-cinq ans pouvait-elle bien détenir qui vaillent la peine d’engager un homme de main pour les lui arracher par la torture ? «
Sur les ordres de sa mère, Andy fuit alors la ville, remontant le passé de sa mère. De découvertes en découvertes, elle va devoir sauver sa peau pour découvrir le vrai visage de sa mère.
p. 233 : » Elle s’interrogea : laquelle des Laura était sa véritable mère, celle qui lui avait ordonné de la laisser tranquille ou celle qui, soi-disant, n’avait jamais eu rien d’autre que le bien-être de sa fille en tête ? «
Malgré les presque six cents pages de ce thriller, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde ! Si le début de l’histoire commence par une trop banale scène de tuerie aux États-Unis, elle rebondit sans cesse au fur et à mesure des chapitres. L’utilisation des flash back n’est ni pesante ni déroutante dans l’évolution de l’intrigue. Karin Slaughter décrypte et analyse talentueusement toute la psychologie des deux protagonistes que tout oppose au départ. L’évolution du personnage de Andy est édifiante. L’auteure travaille parfaitement le lien mère-fille par le poids des mensonges familiaux, et laisse le lecteur découvrir le bien fondé de ceux-ci. L’auteure joue sur la tension, extrême à certains moments. Le suspens est bien gardé. Bravo, c’est pour ma part un thriller d’une grande réussite !
» Ils ont essayé de nous enterrer. Ils ne savaient pas que nous étions des graines. « Proverbe mexicain
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