"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dangereux reflets.
Alice a tué Célia, sa jumelle. Son reflet, un alter ego inversé dont elle enviait la vie de rêve. Alors que, célibataire, elle doit gagner sa vie en enseignant la philosophie, sa jumelle, épouse et mère comblée, mène l'existence oisive des riches, dans le luxe et un magnifique cadre de vie au bord de la mer. Mais la mort de Célia va permettre à Alice de prendre sa place.
Du moins le croit-elle. Car au "pays des merveilles", ce n'est pas le bonheur mais le désenchantement qui l'attend. La vie d'Alice de l'autre côté du miroir va tourner au cauchemar... jusqu'à lui faire réaliser, mais un peu tard, que le beau miroir était celui des alouettes...
C’était un accident. Un mot de trop, un coup qui part, un autre qui suit, la colère qui submerge, le contrôle qui échappe. Une mauvaise chute, fatale. Alice vient de tuer Célia, sa jumelle. Les deux sœurs étaient parties faire une balade dans la nature, et du haut de la falaise où a eu lieu le drame, Alice ne réfléchit pas longtemps : elle jette le corps de Célia à la mer et décide de prendre sa place.
Elle n’a pas fait ce choix sur un coup de tête. Peut-être attendait-elle son tour pour briller. Car depuis l’enfance, Alice nourrissait de la jalousie pour Célia. Célia la plus sage, la plus intelligente, Célia, la fille parfaite aux yeux de leur mère. Alice disparaît et abandonne son poste de prof de philo et le modeste appartement qu’elle louait pour une magnifique villa en bord de mer, avec en prime Maxime, un mari fortuné, et un mignon petit garçon. Mais Maxime s’avère être un abruti prétentieux et infidèle, et la belle-mère livrée avec est une peau de vache qui passe son temps à rabaisser Célia/Alice. Bien loin du tableau idyllique qu’elle s’en était fait, Alice découvre la vraie vie de Célia et sa sujétion. Mais elle n’a pas fait tout ça pour se laisser enquiquiner, et elle a bien l’intention de profiter de tout ce qu’elle possède à présent. Parviendra-t-elle à donner le change, au milieu des proches de Célia qui ne connaissent qu’une femme dépendante et effacée ?
J’ai été surprise par l’ambiance de ce roman, que j’imaginais beaucoup plus sombre, mais je me suis rapidement laissé convaincre par la tonalité réaliste qu’a choisie l’auteur. Le scénario a beau avoir été maintes fois exploité — la gémellité, une gentille, une méchante… —, Edmonde Permingeat tire intelligemment son épingle du jeu. Certaines situations dans lesquelles se retrouve Alice, l’usurpatrice, m’ont fait rire. Les amis de sa sœur sont une bande de snobinards hypocrites totalement incompatibles avec le fort caractère de la jeune femme, qui n’a pas envie de leur rendre leurs sourires de façade et de participer à leurs manigances. Ses échanges cinglants avec la belle-mère sont jubilatoires. Alice est intéressante, tant par son attitude que par ce qu’elle représente à différents niveaux, et nous fait osciller entre la sympathie et l’énervement : n’oublions pas qu’elle a tout de même tué sa sœur, comment pourrait-on la laisser impunément profiter d’une vie qui n’est pas la sienne ? On ne peut toutefois s’empêcher d’éprouver une certaine satisfaction de la voir remettre tout ce beau monde à sa place. Entre adultère, violences conjugales et manipulations en tout genre, la classe sociale des privilégiés se fait égratigner sans ménagement. L’aspect thriller met un petit moment à s’installer, mais rien ne manque. Au contraire, la mise en avant de la psychologie des personnages fait monter la pression car on sait que tôt ou tard, les apparences vont s’écrouler. Le style, un peu désuet parfois, ajoute un côté décalé appréciable, l’histoire est relativement bien ficelée et son déroulement inattendu : on se retrouve, à plusieurs reprises, à se mettre une pichenette sous le menton pour refermer la bouche.
Sans mon ombre est une surprise, donc, et une bonne.
Edmonde Permingeat a la particularité de mettre en scène des jumeaux dans tous ses romans. Dans celui-ci, Alice, prof agrégée de philosophie, célibataire sans enfant, est la jumelle de Célia, épouse et mère de deux enfants, vivant confortablement dans une luxueuse villa au bord de la mer.
Dès son plus jeune âge, Alice a ressenti une profonde jalousie vis à vis de sa soeur. Cette jalousie l'amènera, dès les premières lignes du roman, à tuer dans un accès de rage Célia.
Se débarrassant du corps dans la mer, elle décide d'endosser l'identité de sa jumelle afin de pouvoir elle aussi se » la couler douce » auprès d'un mari jouissant d'une bonne situation.
Ne semblant pas éprouver le moindre remords, elle se glisse avec aisance dans le quotidien de sa soeur. A sa grande surprise, Alice va découvrir ce qu'était réellement la vie de Célia.
Ce roman, outre le fait d'être parfait pour le temps des vacances, nous éclaire sur les ressorts psychologiques pouvant interagir entre des jumelles, pointe du doigt que l'humain a toujours tendance à trouver que l'herbe est plus verte chez les autres.
J'ai eu un peu de mal au début à accrocher car je trouvais le personnage d'Alice particulièrement antipathique. Mais au fur et à mesure, je me suis vraiment intéressée à la vie de Célia et ai eu envie d'en savoir plus, jusqu'au dénouement final inattendu.
Très bon moment de lecture.
Lors d’une promenade, Alice vient de tuer sa sœur jumelle Célia. Elle en éprouve peu de remords pour ne pas dire pas du tout, un soulagement même, une libération. Célia n’est plus, Alice va renaitre. Elle y voit même l’occasion de quitter sa vie blasée de prof de philo qui a perdu la foi de l’enseignement pour prendre la place de sa sœur femme au foyer entretenue par un mari plein de fric ! Plus besoin de travailler, la vie de rêve !
Le changement fait, Alice va constater que la vie de sa sœur n’était pas celle qu’elle imaginait…
***
Le personnage d’Alice est particulièrement odieux. Hautaine, affirmée, imbue de sa personne, sûre d’elle, elle est franchement détestable. La pauvre Célia est l’inverse, manquant de confiance en elle, courbant l’échine à tout, d’où le mépris qu’Alice éprouve envers elle.
Une forte rivalité les lie. Chacune d’elles envie l’autre.
Alice est celle qui a fait des études, qui est intelligente et qui doit travailler pour vivre. Célia la pauvre nunuche qui n’a pas une grande culture et qui pourtant mène une vie oisive de luxe.
Alice a un manque d’empathie qui la rend haïssable et puis, peu à peu, on va la voir changer. A la fois par ce qu’elle vit en ayant adopté la vie de sa sœur mais aussi et surtout lorsqu’elle tombe sur le journal intime que celle-ci a laissé.
Sans être le livre du siècle, une histoire qui m’a tenue jusqu’à la dernière page. Je voulais savoir comment allait tourner la situation où les problèmes s’accumulent et ce encore plus lorsque le retour en arrière n’est plus possible.
Je suis un peu déçue par la fin. La dernière ligne est ridicule, de trop. Dommage que l’auteure ait ponctué de telle manière, je n’en vois pas l’intérêt. Elle aurait pu finir son histoire de manière plus forte à mon avis, surtout en ce qui concerne Maxime le mari. Conclusion un peu rapide qui laisse aussi de côté le "détail" du mail envoyé par Alice (comprendront ceux qui liront le livre).
Le pitch me tentait cette histoire de jumelle dont après un accident mortel prend la place de l'autre, une intrigue attrayante je pensais que j'allais passer un bon moment de lecture ... hélas non !
J'ai été déçu par le style de l'auteur. Le manque de crédibilité sur certains passages, un vocabulaire trop vulgaire qui selon moi n'était pas utile et surtout les personnages d'Alice et maxime qui m'ont été très antipathiques !
Malgré tout ces points négatifs j'avais quand même envie de savoir comment ça allait se terminer. J'ai donc poursuivi ma lecture jusqu'au la fin avec peine pour pouvoir faire une critique honnête de ce roman!
Pour résumé ça a été une lecture fallasieuse, avec une héroïne déplaisante, cette histoire n'a pas fonctionné avec moi !
C'est bien connu : on désire toujours le contraire de ce qu'on a, c'est le syndrome de « l'herbe plus verte dans le pré d'à côté » : les cheveux frisés rêvent d'être raides et vice et versa, les yeux bruns voudraient être bleus ou verts mais surtout pas bruns. le pauvre envie le riche (rarement le contraire cependant !!) en pensant qu'il a forcément une meilleure vie (plus confortable matériellement c'est sûr, mais il y a toujours des conditions suspensives) suscitant, jalousie et obsessions.
Dans ce cas précis, il est question de deux jumelles à la vie et aux caractères diamétralement opposés :
Alice, a fait de brillante études et est devenue professeure (de philo). Belle, émancipée, rebelle à tout et à l'autorité, sure d'elle jusqu'à l'arrogance, elle manie volontiers le cynisme, le sarcasme et l'humour cinglant. Elle a fait de Nietzsche son « maître à penser », c'est peu dire!!
Élève laborieuse, Célia, a quant à elle, suivi l'école de la vie » en faisant ce qu'on attendait d'elle : se marier tôt, avoir des enfants et mener une vie de famille calme et sans histoires. de caractère plus réservé, Célia a vécu sous l'emprise et la dépendance de sa mère, puis sous celle de son mari.
Alors Célia, la sage mère au foyer, versus Alice, la rebelle, l'insoumise ? Y-a-t-il matière à devoir faire un choix ?
Deux parties distinctes se dégage dans le livre :
La première partie avec le présent ; c'est le point de vue d'Alice sur sa soeur et sa vie. Alice pense que Célia mène une vie « facile », une vie de rêve : entourée et aimée et surtout sans contraintes matérielles.
On s'aperçoit, contre toutes attentes, qu'Alice jalouse de manière compulsive la vie de sa soeur. Jalousie qui confine à la haine. La libre et frondeuse Alice, en quête éperdue de reconnaissance de sa mère, rêve d'un cadre de vie aisé, mais rêve-t-elle vraiment pour autant des responsabilités qu'une vie de famille imposent ?
Convaincue de la nécessité de détruire « l'autre » pour pouvoir exister, que « la raison de plus fort » fait loi, se substituer à son doute pour être « révélée », elle affiche une réelle volonté d'être « mieux » voire « unique ». Usurper l'identité de l'autre, prendre sa vie. Pour « exister » faut-il « tuer » « l'autre » et prendre sa place ?
En psychanalyse, on en parle mais de façon abstraite. Dans ce roman, on passe à du « concret » et alors Alice nous apparait rapidement insupportable, détestable, égoïste et sans aucuns scrupules.
La seconde partie avec le passé sur la vie de Célia, vu par Célia au travers de son journal intime où l'on découvre « l'envers du décor ». Celle-ci voyait la gémellité en termes de complémentarité, comme les moitiés formant un tout.
Alice, va apprendre à voir la vie de sa soeur autrement que ce qu'elle avait imaginé et elle réalise alors, qu'elle a « idéalisé » la vie de son « autre » elle-même…. On est toujours attiré par son contraire, comme je le disais au début.
Le livre fait de fréquentes références à « Alice au pays des merveilles » et à l'autre côté du miroir, au fait de devenir l'autre, de se fondre en elle. Devenir les deux à la fois… le reflet l'une de l'autre ou son ombre comme le titre en fait référence.
En psychanalyse et selon Carl Gustav Jung « L'ombre peut être définie comme notre double inversé, celui ou celle que nous aurions pu être, mais que nous ne sommes pas. C'est notre face obscure, elle contient l'ensemble des traits de caractère qui n'ont pas pu se développer dans notre personnalité. Elle symbolise en quelque sorte notre frère jumeau opposé qui est caché dans les profondeurs de notre inconscient”.
Ici, les jumeaux sont réels et la dualité intériorisée dont parle Jung, se traduit par le meurtre réel de l'une d'elle. de plus, le « crime », même s'il est accidentel, est aggravé par le fait qu'Alice jette le corps de la falaise et prend la place de sa soeur. Alors qu'en psychanalyse on parle de s'affranchir symboliquement de son autre, dans le livre on passe de l'empirique au réel.
On pourrait aussi trouver matière à moult réflexions transcendantales sur le thème du « miroir » et du « double » … mais trêve de psychanalyse !!! le tout dernier chapitre est « étonnant » sans être renversant mais c'est un excellent thriller domestique dans la veine des Shari Lapena, AB Paris et autre B. Abel…
Un grand merci aux éditions de l'Archipel et @NetGalley pour la découverte de ce thriller psychologiquement bien travaillé !
Le miroir aux alouettes d'Alice
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J'ai toujours été attirée par la gémellité (mais ça je vous l'ai déjà dit dans une autre critique récemment). Un résumé alléchant : Des apparences trompeuses, les illusions d'un bonheur parfait (encore que c'est subjectif, c'est ce que nous allons voir...), un crime impuni, une vie échangée. Voilà qui est fort prometteur.
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Un début qui démarre fort avec un crime commis de sang-froid. La jumelle tue son double sans hésiter. Et que veut-elle prouver? Juste remplacer celle-ci dans sa vie de luxe et de paillettes. Vraiment?
C'est ce que fait donc Alice. Vous savez, cette Alice au pays des merveilles qui change de monde, croyant trouver le bonheur mais déchantera bien vite.
Oui, je sais, beaucoup d'auteurs ont écrit ce scénario somme toute assez classique. Mais....l'auteure m'a manipulé jusqu'au bout.
De divertissante, la lecture est devenue haletante, intrigante, suffocante. Et énervante (ah que je hais cette Alice alors!!). Quelques invraisemblances certes mais l'histoire est bien ficelée avec des rebondissements malicieux. La psychologie des personnages est riche et étoffée (j'ai également aimé détester le mari, pouah quelle purge celui-ci!!, Alice et son humour cinglant, Celia à l'air éthéré et soyeux...).
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Voilà, vous l'aurez compris, une lecture addictive avec du suspense garanti ! (j'émets juste une réserve pour le final que j'ai trouvé trop "classique" et convenu)
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Merci à Netgalley et les editions Archipel.
Après une violente dispute qui a causé la mort de sa sœur jumelle Célia, Alice décide de se glisser dans la vie de celle-ci. Mais là où elle pensait y retrouver le confort et l'oisiveté, elle va à la découverte de belles déconvenues et de bien d'autres secrets...
Un roman de plus sur la gémellité, un thème fantasmé et qui sied comme un gant au genre du thriller. Edmonde Permingeat nous réserve un récit noir, amer et entêtant.
L'histoire de ces deux sœurs qui se ressemblent dans leurs chairs et dans leurs dissemblances, nous irradie jusqu'à la moelle et nous poursuit tout au long de notre lecture. Il y a un climat dangereux, interdit et malsain à s'installer dans la peau d'une autre. Célia nous met mal à l'aise, et on ne comprend pas ses choix. Petit à petit, en traversant le miroir, elle comprend que la vie de sa sœur n'est pas ce qu'elle donne à paraître. Le vernis craquèle et révèle ses imperfections, ses zones d'ombre, ses défaillances.
L'écriture est appliquée, affirmée. Elle nous capture et nous enferme dans un piège étouffant. On éprouve de la peine de Célia, du dégoût pour son mari, Maxime. On regrette les dommages collatéraux que cette sombre histoire génère et on vibre au cours des nombreux rebondissements...
C'est un thriller haletant qui nous occasionne des sentiments doubles, ambivalents. C'est bien ficelé, très bien mené, psychologiquement réussi. Et on ne parle même pas de la fin qui est juste jouissive !
Auteur de "Tu es moi" qui a obtenu le prix des lecteurs en 2015, Edmonde Permingeat revient ici avec un thriller domestique axé sur la gémellité.
C'est l'histoire de deux sœurs jumelles qui se ressemble à s'y méprendre comme deux gouttes d'eau. C'est l'histoire du dominant et du dominé, où la rivalité va tout anéantir...
Tout commence dès la première page, par la mort tragique de Célia lors d'une violente dispute entre les deux sœurs rivales, qui va virer au cauchemar. Alice, rongée depuis toujours par sa jalousie, décide alors de prendre la place de sa sœur et de passer de l'autre côté du miroir pour une vie qui lui paraît si parfaite.
Détruire l'autre pour pouvoir exister...
Alice et Célia, que tout oppose, ont des vies bien différentes. L'une, aux brillantes études est professeure de philosophie. Elle est célibataire et collectionne les conquêtes comme des trophées, tandis que l'autre est non diplômée, mariée et mère au foyer de deux fillettes. Alice, au tempérament fougueux et aigrie de ne pas être née unique, est maligne et déterminée. Elle est auto-centrée, extravertie, acerbe, cinglante, et aborde une assurance sans failles, mais envie l'oisive Célia avec sa famille parfaite qui semble vivre dans le luxe. Célia, à la vie pas si lisse, est quant à elle effacée, sensible, sage et obéissante mais envie en retour la liberté de sa sœur...
Entre faux-semblants, non-dits, mensonges, tromperies et trahisons, les apparences seront trompeuses et Alice va finalement s'apercevoir qu'on ne connaît jamais vraiment la vie des autres...
Avec des personnages dynamiques, antipathiques et souvent même caricaturaux, Edmonde Permingeat et son style vif nous décrit avec justesse la complexité des relations qu'ils nouent entre eux.
Un livre en deux parties ; une première dans laquelle Alice se glisse dans la vie de sa jumelle et une deuxième, plus mélancolique, dans laquelle nous découvrons les pensées de Célia à travers son journal intime. L'entrée se fait dans le vif dès la première phrase avec un écrit rythmé et sans fioritures. Les chapitres courts et riches en rebondissements en font une lecture fluide. Avec une plume riche et excellente, le récit est teinté d'humour avec les pensées cyniques et sarcastiques d'Alice (en italique dans le récit) et peuplé de multiples références à ses philosophes préférés. Sans enquête policière, l'auteur va faire monter la pression jusqu'à la chute dramatique qui est pour moi une réussite.
Une aventure intrigante et rapidement addictive qui va nous captiver jusqu'à la dernière page, sur un sujet habilement mené pour un excellent moment.
"Tu es l'autre, je suis toi. Je suis l'autre, tu es moi. Alice ou Célia ? Qu'importe! Nous ne sommes plus qu'une !"
"Je rêve d’une maison pleine de soleil et de rires. Une maison ouverte aux amis. Aux vrais, à ceux qui n’ont pas une pierre à la place du cœur, qui n’ont pas besoin d’écraser les autres ou de briller pour exister, qui se contentent d’être eux-mêmes et qui sont tout simplement heureux de respirer l’air pur, heureux de vivre. Sans clinquant ni flonflons ni paillettes. Une vie toute simple. Saisir les petites joies qui passent comme des papillons multicolores. C’est ça le bonheur."
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