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Au centre de ce roman un quatuor amateur dans lequel jouent Hélène, Catherine, son mari Jochem et Hugo. À cet ensemble musical s'ajoute la figure tutélaire de Reinier, un homme de quatre-vingts ans, ancien professeur et amant de Catherine, aujourd'hui seul et de santé fragile.
Àpremière vue Anna Enquist reprend des éléments connus des lecteurs familiers de son oeuvre : le deuil après la mort d'un enfant, la musique et plus particulièrement la valeur thérapeutique de la pratique musicale, l'exercice de la médecine au quotidien et l'éthique médicale. Mais elle innove ici en situant ce livre au coeur du terrain politique et social puisque les quatre musiciens qu'elle met en scène sont confrontés à l'abandon du soutien de la culture par l'État et au démantèlement du système de santé aux Pays-Bas.
Pas de coup de cœur mais un joli moment avec ces quatre personnages
Très beau roman néerlandais, sensible, émouvant et attachant, Quatuor est une petite pépite, une perle fine qui se niche au fond d'une coquille.
Une histoire à quatre voix (quatre amis qui forment un quatuor) rythmée par la musique classique qui complète les mouvements de ces individus, musiciens amateurs.
L'auteur déroule son histoire d'un personnage à un autre, faisant évoluer ainsi l'intrigue selon plusieurs points de vue. Deux hommes, deux femmes, unis par des liens forts et complexes forment donc la base, le socle de l'histoire. L'auteur arrive avec une douceur de style, délicatement, à nous toucher, l'écriture est ici aussi finement travaillée que les mouvements des archets des musiciens.
Pas d'intrigue flamboyante ou exubérante, (la partie "policier / suspense, du roman n'est que le prétexte au déroulé des sentiments des personnages), mais une sensation de côtoyer l'intime, de partager les émotions et les sens .
Trop triste, une personne âgée, une dépressive, un qui perd son emploi...
Rien ne rassure dans le nouveau roman d'Anna Enquist. Pas plus les lieux (les canaux d'Amsterdam?) que les personnages, tous en souffrance à différents degrés, mais qui ont en commun l'amour de la musique. En tout cas la passion de l'interpréter. On écoute tout autant Mozart que les plaintes discrètes et retenues des hommes et des femmes qui forment ce quatuor. Etait-il nécessaire d'emballer le roman sur sa fin en le faisant verser pratiquement dans le thriller? Pas vraiment car la musique et les blessures suffisaient à en faire un beau livre froid et désespéré.
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