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Primitifs italiens ; le vrai, le faux, la fortune critique

Couverture du livre « Primitifs italiens ; le vrai, le faux, la fortune critique » de  aux éditions Silvana
Résumé:

Le catalogue présente l'exposition du Musée Fesch d'Ajaccio qui fait découvrir au public le goût pour les primitifs italiens , depuis leur « découverte » au XVIIIe siècle jusqu'aux ... faux, lois du marché oblige.
A l'image du parcours de l'exposition, ce volume consacre une réflexion sur... Voir plus

Le catalogue présente l'exposition du Musée Fesch d'Ajaccio qui fait découvrir au public le goût pour les primitifs italiens , depuis leur « découverte » au XVIIIe siècle jusqu'aux ... faux, lois du marché oblige.
A l'image du parcours de l'exposition, ce volume consacre une réflexion sur l'oeuvre et son double, sur le détournement des images et d'une manière plus générale sur la question des « copies, répliques et pastiches » qui sont présents dans la peinture dès le Moyen Age et durant toute la période de la Renaissance.
Qu'il s'agisse de copies fidèles d'oeuvres existantes (Margaritone d'Arezzo, Orcagna, Benozzo Gozzoli, Domenico Ghirlandaio, Sandro Botticelli) ou de « collages » à partir d'éléments puisés dans un vaste répertoire, certains de ces tableaux parviennent à duper les plus grands experts. Parmi ces faussaires, pour la plupart anonymes, émerge la figure attachante et pittoresque du peintre siennois Icilio Federico Joni (1866-1946) à qui l'on doit quelques contrefaçons aussi géniales dans leur virtuosité technique que dans leur inventivité artistique.

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