Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Publié en 1603 à Lyon, chez J. Roussin, et jamais réédité depuis, le De recta nominum impositione est la dernière oeuvre d'envergure du poète, philosophe et théologien que fut Pontus de Tyard (1521-1605). Le problème de l'imposition des noms se situe pour lui au coeur de la philosophie du langage et rejoint par là toute réflexion sur le rapport entre res et verbum, liée à son tour à la situation d'Adam nominateur vis-à-vis du Créateur. Dans un texte dont la forme n'est pas sans évoquer l'essai montaignien, Tyard tire de maints domaines tant mythologiques que bibliques, historiques et scientifiques des étymologiesmettant à l'épreuve, et peut-être en question, son cratylisme platonicien. Car s'affirme aussi dans le De recta impositione un humanisme joyeux capable de libre jugement.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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