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Mon oncle et mon curé est un roman français de Jean de La Brète, pseudonyme d'Alice Cherbonnel, paru pour la première fois en 1889 chez Madame-Plon-Nourrit et Cie, Paris. Il a été couronné par l'Académie française en 1889 et a connu un succès de librairie d'ampleur exceptionnelle.
Reine vit aux Buissons entre sa tante, Mme de Laval, vieille femme acariâtre qui lui fait la vie dure, et son curé qui est son précepteur et son conseiller. Le hasard veut qu'un accident d'auto fasse arrêter le cousin de Reine, Paul de Comprat, aux Buissons. Reine, enchantée, veut faire durer le séjour de Paul et démolit sa voiture à coups de pioche. Les deux jeunes gens se plaisent, mais ne se l'avouent qu'a moitié. Sur ces entrefaites, Paul repart chez son oncle, M. de Pavolles. Reine, de plus en plus malheureuse, s'enfuit des Buissons et se réfugie au château de Pavolles. Là, elle rencontre la fille de son oncle, Blanche, et apprend que celleci est fiancé à Paul. Grand désespoir... Ce joli roman «à l'eau de rose», qui a pour cadre la province profonde, a en réalité été écrit par une jeune femme, Jean de la Brète étant le pseudonyme d'Alice Cherbonnel. Portée à l'écran, cette histoire fut un des grands succès cinématographiques de l'entredeux guerres.
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