Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Dans cet ouvrage, Marie-Laure Souplet aborde l'importance du rôle de son chien dans sa vie sociale et professionnelle. Elle se demande à quel point son handicap a été la cause de son caractère battant : sans lui, aurait-elle suivi ce parcours ? À travers ce récit, l'auteure souhaite faire découvrir le potentiel des déficients visuels dans la vie quotidienne (au travail, dans la sphère personnelle, dans les activités de loisir...) et le rôle central que peut avoir un chien - qu'il soit chien guide ou animal de compagnie -, dans la mesure où il apporte réconfort, bien-être et bonheur.Plusieurs photographies servent les propos de l'auteure en dévoilant le matériel adapté à la déficience visuelle, utilisée pour la scolarité et/ou le travail, et la complicité que Marie-Laure entretient avec ses compagnons à quatre pattes.Née en 1971, Marie-Laure Souplet est non-voyante de naissance. Détentrice d'un master, elle exerce depuis près de trente ans le métier de formatrice en bureautique, en français et en braille. Appréciant partager ses réflexions et ses recherches, elle décide de publier son premier ouvrage il y a maintenant dix ans. Moi jamais sans mon chien est son quatrième ouvrage. Elle met en avant le chien qui l'a aidée à s'intégrer socio-professionnellement.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...