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L'ordre social monétaire : l'économie discursive défit le courant dominant et l'économie narrative

Couverture du livre « L'ordre social monétaire : l'économie discursive défit le courant dominant et l'économie narrative » de Vladimir Yefimov aux éditions L'harmattan
Résumé:

L'ordre social occidental existant depuis plus de trois siècles doit être décrit comme celui dans lequel la possession de l'argent et encore plus le droit de le créer et de le contrôler, sont les sources les plus importantes du pouvoir. Je propose d'appeler cet ordre l'ordre social monétaire. La... Voir plus

L'ordre social occidental existant depuis plus de trois siècles doit être décrit comme celui dans lequel la possession de l'argent et encore plus le droit de le créer et de le contrôler, sont les sources les plus importantes du pouvoir. Je propose d'appeler cet ordre l'ordre social monétaire. La profession d'économiste académique au départ de sa création était orientée non pas vers les études de cet ordre social mais vers sa justification et sa légitimation. Par contre, l'institutionnalisme originel américain effectuait des investigations de l'ordre social existant, et voilà pourquoi il était finalement rejeté par la classe dirigeante et aujourd'hui oublié par la profession. A l'heure actuelle, nous pouvons dire que l'approche de cet institutionnalisme originel vers la recherche était discursive. Robert Shiller a réussi de prévoir la bulle immobilière en utilisant l'approche discursive. Dans le cadre de ce qu'il a appelé plus tard narrative economics, il s'est efforcé d'orienter cette approche au service de l'ordre social monétaire existant et vers sa légitimation. L'auteur propose une autre orientation et une justification différente de l'approche discursive en économie.

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