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Les heures bleues d'Antoine le Viste (édition 2019)

Couverture du livre « Les heures bleues d'Antoine le Viste (édition 2019) » de Jacky Lorette aux éditions Sabres Et Lys
Résumé:

«Mes souvenirs sont également mes songes.» En 1534, à quelques mois de sa mort, Anthoine Le Viste, le commanditaire de la tenture de La Dame à la licorne conservée au musée de Cluny à Paris, écrit ses Mémoires.
Sa jeunesse auprès de sa mère, de son père et de ses deux soeurs à Paris, ses... Voir plus

«Mes souvenirs sont également mes songes.» En 1534, à quelques mois de sa mort, Anthoine Le Viste, le commanditaire de la tenture de La Dame à la licorne conservée au musée de Cluny à Paris, écrit ses Mémoires.
Sa jeunesse auprès de sa mère, de son père et de ses deux soeurs à Paris, ses études, ses voyages, ses activités de juriste auprès de Louis XII puis de François I er , la montée des fanatismes, ses relations avec le peintre Jean Perréal dit Jehan de Paris qui a bien connu Léonard de Vinci, sa rencontre avec le prince ottoman Zizim...
... et surtout les «heures bleues» qu'il connaît lorsque la jeune Mary Tudor, soeur d'Henry VIII, arrive en France pour épouser Louis XII et devenir reine de France. Un amour secret dont il ne peut se déprendre.
Un roman autobiographique, c'est-à-dire un mentir-vrai. Tous les personnages rencontrés ont existé réellement. Les faits rapportés sont parfois historiques, parfois entièrement inventés mais vraisemblables.
Si Anthoine Le Viste accompagne François I er à Marignan en 1515, s'il est à Tours en 1533, il n'a certainement jamais connu les rues, les places et les églises de Venise en 1490, ni les vents et la fureur du Camp du Drap d'Or en 1520. Bruges et ses canaux, pourquoi pas, où ses tapisseries de La Dame à la Licorne ont peut-être été tissées sur les dessins probablement dus à Jean Perréal.
Anthoine Le Viste a réellement rencontré Mary Tudor, à Paris bien sûr, mais aussi en Angleterre où il est allé en tant qu'ambassadeur de François I er .
Dans ces Mémoires/Roman, il explique lui-même, en compagnie de Jean Perréal et de sa fille Jeanne, les significations cachées de ses huit tapisseries, soit sept plus une.
Un roman où cohabitent, de 1470 à 1534, les derniers feux du Moyen Âge et les premières flammes de la Renaissance.

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