Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Il y a ces récits qu'on croise dans l'enfance comme des nuits ouvertes.
On y revient. On a l'impression d'entrer dans un jardin ou une maison où on reconnaît tout d'avance et pourtant : elle est où, la trappe à mystère ?
Peut-être simplement tient-elle à la ville. Andersen, le voyageur, les connaissait toutes. Alors il amplifie la nuit de Copenhague en y insérant tous les mystères de Londres ou de Paris.
Et la magie tient en bonne partie à cet objet si humble, ces chaussures pour la pluie, qu'on laisse à l'entrée des maisons - symbole même de ce qui circule dans la ville, et l'anonymat dès que franchie la porte.
Reste le trouble : le souhait à volonté existe de tout temps dans l'univers fantastique du conte. Andersen le détourne - par la ville, par les humbles qui la font.
Et dites aussi qu'on y serait indifférent, à cette école du bonheur ?
FB
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !