Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Les abréviations françaises et latines XIVe-XVIIIe siècles

Couverture du livre « Les abréviations françaises et latines XIVe-XVIIIe siècles » de Prou Maurice aux éditions Archives Et Culture
Résumé:

Retracer une généalogie, une histoire familiale ou une biographie, c'est très vite être amené à lire des écritures manuscrites, qu'il s'agisse de correspondances, d'actes d'état civil, de registres paroissiaux ou de minutes de notaires.

Déchiffrer des textes écrits à la main est une première... Voir plus

Retracer une généalogie, une histoire familiale ou une biographie, c'est très vite être amené à lire des écritures manuscrites, qu'il s'agisse de correspondances, d'actes d'état civil, de registres paroissiaux ou de minutes de notaires.

Déchiffrer des textes écrits à la main est une première difficulté, pour nous qui sommes habitués à ne lire que des imprimés. Mais l'usage considérable d'abréviations par les scribes de l'Ancien Régime est une seconde difficulté, majeure celle-ci, car si l'entrainement à la lecture de pages manuscrites fait disparaître le premier écueil, la méconnaissance des abréviations rend les textes totalement hermétiques.

D'où l'utilité de ce dictionnaire des abréviations courantes utilisées du XIVe au XVIIIe siècles. Il donne non seulement les abréviations présentes dans les documents en français, mais aussi dans ceux rédigés en latin, qui existent en archives pour certaines périodes ou régions. Un outil par conséquent indispensable au généalogiste comme à l'historien.

Donner votre avis