"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le coronavirus qui nous obsède depuis un an ? Un terme d'origine latine. La langue des personnages romains dans la série Barbares de Netflix ? Du latin. Tout comme celle du Petit Nicolas, qui lance désormais un amboyant « Glaucops est ! » (« C'est chouette », en latin dans le texte). Harry Potter ? Traduit lui aussi en latin et en grec, mais surtout pétri de références antiques. Et quid des vestales de la maison de haute couture Fendi qui défilent sur le mont Palatin à Rome, de Beyoncé qui réinterprète Alexandre le Grand dans un clip ou du surnom de notre président, Emmanuel «Jupiter» Macron ? Les références culturelles à l'Antiquité sont partout, y compris là où on les y attend le moins. Les déclinaisons, si emblématiques du cauchemar des apprentis latinistes et hellénistes, ne sont pas un obstacle. Soyez curieux, et la corne d'abondance des plaisirs de l'Antiquité ne se tarira jamais. Longue vie aux langues mortes !
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