Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
«Et le mot Paradis a claqué comme une chose fabuleuse. Ce n'était pas lié à la religion, parce que nos parents ne nous avaient pas donné d'éducation de ce côté-là, et pour moi le Paradis n'était pas moins chinois que l'enfer, je ne connaissais rien de ces mythes, mais d'un seul coup, passant par la bouche d'Irwin, le Paradis devenait le fin du fin, le rêve absolu, le sommet, le Paradis quoi et moi le Paradis, je veux connaître.»
On retrouve l’écriture particulière d’Hervé Guibert. C’est hard, glauque et poétique à la fois. Le désespoir et le mal de vivre se mêlent à l’amour.
On suit ses pensées et ses souvenirs. On s’y perd parfois. Il suggère des événements et nous laisse un peu sur notre fin sans leur donner de suite.
Autobiographie et rêves de vie se côtoient.
La maladie est présente et savoir qu’il a écrit ce livre quelques mois avant de se donner la mort le rend plus poignant.
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