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Le livre de vie ; 1379-1382 ; Bergerac, au coeur de la guerre de Cent Ans

Couverture du livre « Le livre de vie ; 1379-1382 ; Bergerac, au coeur de la guerre de Cent Ans » de Yan Laborie et Bernard Lesfargues aux éditions Federop
  • Date de parution :
  • Editeur : Federop
  • EAN : 9782857921417
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Document exceptionnel que ce Libre de Vita, dont le manuscrit original est conservé aux Archives de Bergerac et constitue l'un des éléments essentiels du patrimoine de cette ville du Périgord.
Son auteur, Johan Thoyr, notaire public et secrétaire du consulat de Bergerac, y transcrit... Voir plus

Document exceptionnel que ce Libre de Vita, dont le manuscrit original est conservé aux Archives de Bergerac et constitue l'un des éléments essentiels du patrimoine de cette ville du Périgord.
Son auteur, Johan Thoyr, notaire public et secrétaire du consulat de Bergerac, y transcrit minutieusement cent vingt dépositions des torts faits à la population sous le ressort de la juridiction de la ville entre 1379 et 1382. Certes l'époque est troublée - nous sommes en pleine guerre de Cent Ans : en 1345, la ville est pour la première fois de la guerre assaillie et prise par les troupes du comte de Derby.
En 1377, le duc d'Anjou vient la replacer dans la mouance du roi de France. Devant les murs de Bergerac, ou non loin, passent des troupes en opérations, plus ou moins menaçantes, qu'il faut contribuer à ravitailler. Mais ce ne sont pas à proprement parler les violences causées par le conflit qui sont consignées dans Le Livre de Vie usus de garnisons déclarées anglaises ou françaises, les piètres auteurs des exactions sont des gens d'armes qui se maintiennent dans les châteaux, lorsque se sont retirées les troupes régulières, ou bien des seigneurs et des capitaines qui, jouant de la faiblesse de l'autorité royale, ne songent qu'à servir leurs propres intérêts, ou bien encore de simples valets, des compagnons pillards qui volent, violent, rançonnent pour tromper l'ennui des périodes de trêves et surtout pallier la précarité matérielle où ils se trouvent...

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