Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Au départ, Jacques Jouet n'avait pas d'autre intention que de «traduire» en alexandrins la fin de la scène 4 de l'acte II du Bourgeois gentilhomme pour la drôlerie du paradoxe formel qui s'en suit. Mais, en réalité, il avait en tête de faire la pièce entière. Malgré l'ampleur et la difficulté de la tâche, il s'y est finalement résolu. L'alexandrin, ici, est majoritairement classique, sans être pour autant archéologique. Il tient parfois compte de Hugo, de Mallarmé, de Rostand, de Queneau ou de Roubaud, parce qu'il serait absurde d'ignorer la continuité d'Alexandre. Ainsi, le maître de philosophie fera la diérèse, mais pas Monsieur Jourdain. Dorimène aussi. L'alexandrin est un vers actif, aujourd'hui, parmi d'autres, et non des moindres, aussi vrai que la «cadence nationale», comme dit Mallarmé, est dans la mémoire de la langue française. On lira donc ici une traduction de français en français, mais de prose en vers. Avec toutes les heureuses fantaisies auxquelles cet exercice peut amener.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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