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Le principe de la carte blanche : faire dialoguer un créateur avec les collections du musée, lui permettant d'exprimer son expérience et sa perception du monde arabe. À travers une calligraphie réinterprétée, le « pinceau ivre » donne forme et couleur au langage et incarne les sons et rythmes de l'oralité. Formé très jeune à la calligraphie, Lassaâd Metoui (1963-) s'inspire tout autant de l'art d'Extrême-Orient, notamment japonais, que de la peinture occidentale. Il sonde les oeuvres des maîtres qui ont renouvelé, depuis le XIXe siècle, une vision du monde après avoir eux-mêmes été impressionnés par d'autres environnements, d'autres cultures. Les dessins et peintures de Delacroix, Matisse et Picasso demeurent pour lui une source constante de questionnements. L'opportunité lui sera donnée de dialoguer avec une oeuvre de chacun dans le cadre de sa carte blanche à l'Institut, avec le trait ou la couleur, pour exprimer son émotion, dire son admiration.
Beaux Arts Éditions accompagne Lassaâd Metoui qui fait évoluer son art vers une modernité qui transcende les cultures. Son talent, à la fois enraciné dans une tradition d'exigence esthétique et morale est innovant ; son impact mondial, représenté aujourd'hui à l'Institut du monde arabe, en est la preuve et en fait un artiste majeur dans cette discipline.
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