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Dix grandes histoires sur des petits riens, et pourtant sur l'essentiel.
Des histoires sur le malheur d'être libre, et sur une femme confrontée à une décision existentielle. Des histoires à propos d'un endroit où personne ne veut aller, mais qui devient pourtant un foyer. À propos d'un scénariste d'aujourd'hui qui, en panne d'inspiration, est catapulté dans le Hollywood des années 70, où il pourrait voler l'idée du film qu'il sait être le plus célèbre du XXe siècle. Et, enfin, des histoires tirées de La Fin de la solitude, éclairant enfin un sombre secret de famille et un rêve d'enfant...
Dix grandes histoires très différentes, d'un monde dans lequel mensonges, rêves, vérités se croisent et se confondent. Tour à tour touchantes, drôles, surprenantes et, souvent, inoubliables.
Dans « La Vérité sur le mensonge », Benedict Wells nous livre dix nouvelles dont deux ayant un lien direct avec son roman « La Fin de la solitude », roman que je n’ai malheureusement pas lu mais j’ai tout de même compris le sens de ces deux nouvelles. J’aime le principe des nouvelles car ça me permet de lire plus facilement dans les transports, une nouvelle durant le trajet, format idéal. Pour chaque nouvelle, l’auteur met en évidence le mensonge: celui qu’on donne aux autres, celui qu’on se donne à soi-même. Mais surtout il montre les conséquences de ces mensonges sur soi et sur les autres, sur sa vie et sur la vie des autres. Le mensonge n’est pas anodin et peut bouleverser les choses établies. Ces nouvelles ont un côté fantastique, irréel mais au final, réel. Le style est simple et cela captive à merveille le lecteur. J’ai beaucoup aimé deux nouvelles en rapport avec les livres et l’écriture: « La Nuit des livres » où comment passer la nuit de Noël avec des grands écrivains dans une bibliothèque, et « La Muse » où comment née l’inspiration des écrivains. La nouvelle « La Franchise » surprendra les amoureux de Star Wars!!!
« La Vérité sur le mensonge » est un recueil de nouvelles à découvrir!
J'avais envie que l'on me raconte une histoire; Benedict Wells m'en a raconté dix et j'y ai pris grand plaisir. Un plaisir simple mais délicieux.
Ces 10 histoires ont toutes en commun le mensonge. Pas toujours le mensonge que l'on fait aux autres, parfois le mensonge que l'on se fait à soi même, le pire.
On entre dans chaque récits, comme on mangerait un bon pain qui sortirait du four du boulanger. L'odeur particulière, la croûte dorée qui craque sous nos doigts, la mie si tendre et encore tiède, et quand on le porte à notre bouche, ce délice inexplicable… Benedict Wells est le boulanger des histoires. Il sait mélanger les ingrédients, les travailler à point pour les offrir à nos oreilles alléchées.
Parfois touchantes, parfois drôles ou surprenantes, aucune ne m'a laissé de côté aussi différentes soit-elles. Un moment frais, confortable mais délectable.
Et pourtant il n'y a vraiment rien de compliqué dans l'écriture de l'auteur. Ce garçon n'a pas la plume prétentieuse, il ne cherche pas les effets pour se démarquer. Benedict Wells me surprend à chaque fois par sa capacité à faire peu mais bien.
Traduit par Dominique Autrand
"La vérité sur le mensonge" se présente sous la forme de dix histoires, dix nouvelles où chacun croit détenir en lui la vérité et où chacun vit dans le mensonge et le déni.
L'exercice de la nouvelle est subliment réussi par Benedict Wells, l'auteur arrive à transmettre une intrigue, une atmosphère, une ambiance, un univers dans très peu de mots.
Dis nouvelles à lire d'une traite ou à picorer selon l'envie, mais tel un fil rouge, un lien relie les histoires : celui du mensonge, or chaque récit est totalement différent avec un style propre. Benedict Wells nous parle de la difficulté qu'ont les êtres humains a se comprendre avec une plume délicate et sensible.
Parmi les dix nouvelles, "La nuit des livres" est surement ma préférée, quand les classiques prennent vie, cette histoire ne peut que ravir les amoureux des livres. Et "La Muse", cette histoire double lecture, qui dégage une atmosphère onirique et très inspirée.
"La vérité sur le mensonge" est un recueil réussi, avec dix histoires complètement cosmopolites, qui mêlent à merveille les mensonges, les rêves et les vérités. Un style simple, mais dix nouvelles qui vous évaderont du quotidien durant quelques pages.
Voici dix nouvelles captivantes, solaires et originales. Bénédict Wells par « La vérité sur le mensonge » emmène le lecteur dans un labyrinthe où pas un seul instant on ne cherche la sortie. Dans un même style, ces histoires sont néanmoins différentes dans le fond. Elles sont magnifiées par la constance de l’auteure qui octroie dans un même ton littéraire hors norme, la même force, la même envergure pour chacun de ses écrins. Et c’est tant mieux ! La lecture en devient confortable, agréable, savoureuse. Certains des morceaux d’architecture sont des pans de vie dont la souveraineté va éclater en mille morceaux pour diverses raisons. Dans un jeu brillant, atypique, Bénédict Wells ne lâche pas un seul instant le fil rouge de « La vérité sur le mensonge ». Toutes relèvent de sentiments, de turbulences, d’angoisses, de doutes, de craintes existentialistes, de névroses cachées, de secrets. L’auteure est si douée, perspicace, qu’on ignore la chute qui va advenir. Le pouvoir emblématique d’une mouche dans une avancée Kafkaënne va déclencher le détonateur d’un non-retour des plus subtils. « Ping-pong » où une table de ping-pong foudroie en plein vol « Les histoires extraordinaires » d’Edgar Allan Poe. Bénédict Wells maîtrise ses protagonistes à l’extrême. On a l’impression de cohabiter dans cette habilité, dans les mouvements de vie, dans les aléas, les pertes de sens pour ses comparses. « Muse » est dotée d’une double lecture. L’auteure s’amuse beaucoup dans cette dernière et l’on pressent au travers de cette nouvelle un écho autobiographique. Cette angoisse du vide créative dans son apogée qui rend fou tout écrivain. « La vérité sur le mensonge » est une réussite littéraire. Bénédict Wells 34 ans écrit depuis longtemps. Ses œuvres sont cosmopolites et signent un imaginaire hors norme. « La promenade » première nouvelle de ce musée vivifiant est un petit chef-d’œuvre extraordinaire qui laisse sa place aux neuf autres sans crainte aucune. Cette naissance littéraire traduite avec talent par Dominique Autrand est à lire au coin du feu, en plein hiver quand souffle le vent du Nord. Et vous verrez comme tout change. Edité par les Editions Slatkine & Cie .
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Benedict Wells nous révèle dix nouvelles superbement bien écrites, où chacun croit détenir sa vérité. Où chacun vit dans le déni et le mensonge.
Un très agréable moment de lecture, ce jeune auteur que j'ai déjà eu le grand plaisir de rencontrer en petit comité, ne me déçoit jamais !
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