Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Pourquoi continuer à peindre quand on n'y voit plus ? Et si un homme bousculait toutes les idées reçues sur le rôle de l'oeil dans la création artistique ? Avec La lumière en bandoulière, Estelle Goutorbe trace le parcours singulier d'un peintre qui perd la vue, Jean-Michel Rezelman...
Et qui, pourtant, poursuit son chemin artistique, toujours guidé par la lumière et l'infini : " Je ne me suis jamais arrêté de peindre en pensée. La main peut s'arrêter par moment.. Mais en pensée, j'ai toujours été à butiner un peu partout, à percevoir chaque chose, à regarder le reflet des lumières... ". A travers images et écriture, nous entrons dans la poésie d'un homme lumineux, d'un être qui a su dépasser le tragique de sa cécité pour transmettre une vision intérieure.
D'une autre dimension, la beauté qui se dégage des oeuvres du peintre nous emporte, et nous transcende.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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