Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
L'oeuvre de Barnett Newman aspire à la libération de l'art à travers la pensée du sublime comme une forme de résistance à l'esthétique (celle du goût).
Si l'esthétique ou le discours sur l'art ne semblent plus aller de soi, le sublime selon Newman nous donne les moyens d'envisager un autre discours sur l'art, à partir de l'art : une véritable réflexion en acte, une pensée en déplacement. Cet essai parcourt, à travers les oeuvres picturales et théoriques de l'artiste, la distance - cette " distance convenable " qui définit l'esthétique pour Walter Benjamin - entre le discours sur l'art et l'art, et s'attache à la manière qu'a l'art d'interroger la philosophie et ce qu'il en fait.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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