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Je vis pas ma vie, je la rêve

Couverture du livre « Je vis pas ma vie, je la rêve » de Jacques Higelin et Valerie Lehoux aux éditions Le Livre De Poche
Résumé:

« La musique, j'aimais surtout l'écouter. Elle me faisait tellement de bien. Elle me rassurait. Elle m'a libéré. La nuit, j'en entendais sur un petit poste de radio et, le drap sur la tête, je me laissais porter. J'avais l'impression de voyager. » Cinquante ans après son premier enregistrement,... Voir plus

« La musique, j'aimais surtout l'écouter. Elle me faisait tellement de bien. Elle me rassurait. Elle m'a libéré. La nuit, j'en entendais sur un petit poste de radio et, le drap sur la tête, je me laissais porter. J'avais l'impression de voyager. » Cinquante ans après son premier enregistrement, Jacques Higelin se raconte, et raconte ceux qui comptent pour lui.
La naissance dans la guerre, la découverte du jazz, du théâtre, le service militaire, les spectacles avec Brigitte Fontaine, la vie en communauté, la drogue, la tornade du rock, les années de dèche, les grandes mises en scène, les enfants... Un chemin de liberté et de découvertes permanentes, sur lequel on croise, entre autres, Moustaki, Peter Brook, Jacques Canetti, un conteur de Marrakech, Trenet, Jacno ou Barbara.

Sa fougue, son spleen, ses absences et ses griseries. Un flamboyant mélancolique. Sandra Benedetti, L'Express.

Un récit émouvant et drôle. Sophie Delassein, L'Obs.

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Avis (2)

  • Voici une biographie de la vie de jacques Higelin, écrite à deux mains. J’ai beaucoup aimé lire et suivre le chemin de sa vie. Du petit garçon déjà à part, la vie familiale alsacienne. Le goût de l’enfance si lointaine et qui pourtant reste présente à sa mémoire. Des portraits touchants des...
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    Voici une biographie de la vie de jacques Higelin, écrite à deux mains. J’ai beaucoup aimé lire et suivre le chemin de sa vie. Du petit garçon déjà à part, la vie familiale alsacienne. Le goût de l’enfance si lointaine et qui pourtant reste présente à sa mémoire. Des portraits touchants des personnes qui ont compté pour lui. Celui de la directrice d’école qui rend visite à ses parents pour les conforter dans la nature créative et artistique qui se profilait en Jacques. L’adolescence avec ces errances et puis la guerre d’Algérie et le retour si difficile. Les premiers baisers, les premiers amours, et la première montée sur les planches, le spectacle, le théâtre, le cinéma, la musique, les paroles et la poésie. La rencontre avec Nicole, la naissance d’Arthur tout y est avec des arrêts sur images comme si on y était. Je reste subjuguée par toutes les belles rencontres avec des personnages pittoresques, qu’ils soient d’illustres inconnus ou bien des artistes reconnus chacun à sa façon laissera une trace dans la construction et l’évolution de Jacques.



    Juste un peu de mal dans la façon de choisir la rédaction du texte. Combien de fois j’ai cru que c’est lui qui nous parlait en me rendant compte à la fin de la phrase que nous étions dans la narration de Valérie Lehoux. Ce fût suffisamment dérangeant pour en gêner ma lecture mais ce n’est que mon ressenti.



    Cependant, la vie de Jacques est passionnante et je n’ai pas résisté à dévorer ce petit bijou. Je vous en souhaite bonne lecture, ce qui fut mon cas.

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  • Que du bonheur dans ce livre, celui de suivre la vie d'un grand homme : Une vie pas si facile que ça mais pendant laquelle l'amour et le bonheur de vivre transpire à chaque page. Une vie faite de rencontres, de haut de bas, de douleur et de poésie.

    Fan d'Higelin, je le reconnais dans chaque...
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    Que du bonheur dans ce livre, celui de suivre la vie d'un grand homme : Une vie pas si facile que ça mais pendant laquelle l'amour et le bonheur de vivre transpire à chaque page. Une vie faite de rencontres, de haut de bas, de douleur et de poésie.

    Fan d'Higelin, je le reconnais dans chaque page même si je ne connais pas sa vie dans les détails.

    J'ai aimé les petits apartés de Valérie Lehoux, qui nous explique qu'au final Le grand Jacques ne nous dit que ce qu'il veut bien nous dire, mais quand il le dit c'est avec franchise et sans détour.

    Un livre que je rouvrirai souvent pour ce long poème qui rythme les chapitres entre autres.

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