Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
40 images accompagnées par 40 poèmes dont le la mer est la protagoniste, les petites choses du quotidien, du temps avec des amis, une promenade, regarder le soleil se lever et descendre.
Je ne pourrais jamais vivre loin de la mer. Presque toute ma vie s'est déroulée à distance de marche des rives, le bruit des vagues traînant et griffant la plage alors qu'elles respiraient pour retomber fait partie de ma vie. En constante évolution, déchirée par les vents mais chaude et accueillante à la fin du printemps. La montée et la descente de la marée perpétuelle rythment les jours. Vous ne pouvez pas échapper à la nature dans sa puissance et sa gloire, sa puissance et sa neutralité féroce sur des événements humains de peu d'importance.
Et puis ces moments de calme, où à peine une ondulation perturbe l'étendue du miroir d'eau scintillante. Un appel de mouettes percer l'air.
Et les enfants qui jouent.
Ce tableau n'est nulle part en particulier, bien qu'il soit influencé par les mers le long de la côte d'Armor, notamment après la tempête d'il y a quelques semaines, ainsi que par les déferlantes à Erquy. Peut-être aussi la côte normande où la mer frappe avec force les côtes non protégées, ou même la mer du Nord, où les vagues s'écrasent contre un littoral fragile qui change de forme du jour au lendemain.
Mais cette mer est une mer calme, une seule vague se brisant maladroitement. Des enfants absorbés par leurs découvertes.
Un autre jour.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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