En RD. Congo, on a enregistre de pertes de récolte allant de 30 à 70% due à la cercosporiose de l'arachide. La lutte chimique est peu recommandable dans le contexte de la RD. Congo suite au niveau éducationnel (formation) de la plupart des paysans producteurs sur leurs utilisations et leurs raretés sur le marché. Le recours aux méthodes culturales pour maintenir le niveau de contamination à un niveau acceptable serait une solution. C'est dans cette optique que cette étude était menée mettant cinq dates en compétition enfin d'évaluer et d'apprécier le degré de nuisibilité ou de sensibilité dès la levée jusqu'à la maturité et aussi le rendement dans les conditions écologiques de la ville de Mbujimayi. Il ressort de cette étude qu'aucune date n'a pas été épargnée à la contamination, cependant l'expression de la maladie a été fonction du moment de semis, car, la maladie a apparu précocement à la cinquième et à la quatrième date ceci a eu une influence sur le rendement. Il serait mieux et souhaitable que les producteurs d'arachide sèment précocement afin d'éviter les fortes contaminations et s'attendre à des récoltes satisfaisantes.
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