Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
« Grand prix de Rome » est un titre qui a influé jusqu'en 1971 la production artistique (peinture, sculpture, architecture, gravure et musique, les cinq sections de fondation). Beaucoup de voix se sont élevées contre un système prédominant, censé exclure les meilleurs novateurs au profit de médiocres obéissant aux règles imposées par l'Académie des beaux-arts, alors « protectrice » de la villa Médicis. Le travail de François Fossier relativise beaucoup ce jugement des exclus, relayé par une presse à vocation contestataire. La question est moins simple et soumise aux aléas d'un pouvoir politique régulièrement bouleversé durant un siècle qui connut six régimes différents. D'autre part, les détails, souvent chiffrés, que donne François Fossier sur la vie quotidienne à Rome au XIXe siècle, des représentations diplomatiques aux notes des fournisseurs de la villa Médicis, seront sans doute un précieux apport pour l'historien de l'économie ou de l'administration dans une Italie pontificale qui ne trouve son unification laïque qu'après 1867. Limité en apparence à l'histoire de l'art, Grand prix de Rome s'avère une mine de renseignements
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...