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Voici près de cinquante ans, on pouvait acquérir à Saint-Barthélemy un excellent petit livre publié par la Société royale « Le Vieux Liège ». Il résumait en ces termes ce qu'il fallait savoir des fonts baptismaux : « Nous savons, par un texte contemporain, que ces fonts baptismaux furent coulés entre 1107 et 1118, sur l'ordre de l'abbé de Notre-Dame aux Fonts Hellin qui les destinait au baptistère de son église, paroisse primitive de la cité de Liège. Le nom de l'auteur est inconnu mais une hypothèse vraisemblable fondée sur le témoignage d'une chronique tardive attribue ce chef d'oeuvre à un orfèvre hutois, Renier, mort vers 1150. En tout cas, la parenté de l'oeuvre avec les ivoires mosans du XIe siècle dont elle continue et couronne la tradition atteste son origine liégeoise ».
À part l'orfèvre Renier, cette histoire est encore aujourd'hui très largement acceptée. Mais en 1984, des esprits audacieux mirent en doute l'origine des fonts. Seraient-ils byzantins, coulés quelque part en Italie, vers l'an mil ? La controverse a eu le mérite de raviver les multiples questionnements suscités par la cuve...
Le présent volume rassemble des contributions autour de quatre thèmes : les témoignages et les traditions sur les fonts, les inscriptions, les images, enfin la technique de fabrication et la métrologie.
Sur l'origine des fonts, les auteurs ont certes une opinion, mais elle est accessoire. C'est le sens qui importe, le message que les fonts transmettaient aux gens de ce temps-là, et qu'ils redisent aujourd'hui à notre propre spiritualité.
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